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17/01/2024

Les revendications de la CFDT Auchan pour les NAO 2024

Les revendications de la CFDT Auchan sont légitimes vu le contexte social et l'inflation depuis 3ans !

NAO_CFDT_2024.jpg

14:41 Publié dans ARF, Négociations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : négociation | |  Facebook | | | |

10/01/2024

Questions CFDT au CSE Auchan ARS/ARA du 13/12/2023

CFDT_CSE.jpg

Temps de déplacement

CFDT : Certains salariés sont appelés à voyager en France comme à l'étranger, avec des temps de trajet longs. Comment ce temps de trajet professionnel est-il pris en compte ?

DRH : Lorsque le temps de déplacement se déroule pendant les horaires habituels de travail du salarié, il est traité comme du temps de travail effectif et ne fait l’objet d’aucune compensation supplémentaire. Lorsque le temps de déplacement se déroule en dehors des horaires de travail du salarié, le PV de désaccord NAO 2014 prévoit que les temps de déplacement additionnels au temps de déplacement habituel entre le domicile et le lieu de travail du salarié fait l'objet d'une contrepartie en repos à hauteur de 25 % de ce temps additionnel. Ce temps additionnel doit être enregistré sur Concur pour pouvoir alimenter le compteur. 

CFDT : Pour compléter, la fois dernière, vous aviez dit qu’un sujet serait évoqué par rapport à ce temps de déplacement.  

DRH : Si vous parlez du F503, soit le « hors site », ce n’est pas la même chose. 

CFDT : C’est un peu lié car, dans certaines équipes, des managers demandent à ce qu’une personne qui va en déplacement sur un autre site ne pointe pas en « hors site ». Cela créé des problèmes. Il peut y avoir des déplacements, comme une personne qui va mettre trois heures pour se rendre sur un site et trois autres pour revenir. Comme elle ne met pas travail « hors site », sa journée n’est pas décomptée entière. 

DRH : Au contraire. C’est bénéfique pour lui, la journée est décomptée. 

CFDT : Non, il ne doit pointer qu’au moment où il arrive sur site et dépointer lorsqu’il quitte le site. Cela se passe ainsi dans certaines équipes. Cela pose un problème par rapport à cette consigne qui n’est pas la même partout. 

DRH : Ce sont des paramétrages dans e-tempo. Hier, j’ai vérifié avec l’équipe. Ce qui a été écrit est que, quand je mets du F503, c’est hors site Auchan. A priori, des consignes différentes sont données en Exploitation. Il faut que nous nous alignions, mais Laurent Doublé est en congés. Dès son retour, je dois positionner un rendez-vous avec l’Exploitation et Laurent, plus ARL, pour prendre une position commune et qu’elle soit claire dans l’ensemble de l’entreprise. A date, il y a des messages différents et divergents selon les entités. Nous avons le bon message par rapport à ce qui a été fait à l’origine. Est-ce que ce message doit perdurer ou non ? Nous devons nous poser pour en discuter. Les choses doivent être faites dans les règles et correctement. 

CFDT : Oui, mais il faut bien aussi que les gens aient leur journée de décomptée malgré des durées de déplacement importantes. 

DRH : Nous sommes bien d’accord. Comme c’est pendant son temps de travail, c’est du temps de travail effectif.
Il badge au moment de partir. S’il part à 5h du matin, il ne badge pas. Il fait du déplacement sur Concur, sur le temps additionnel. Le reste passe en temps de travail effectif selon ses horaires habituels de travail. C’est la règle à date pour que cela ne lui décompte pas six heures de journée alors qu’il en a fait bien plus. 

CFDT : Est-ce dans une note de service qui a été diffusée ? A défaut, une note de service pourrait-elle être largement diffusée ? 

DRH : Je ne pense pas qu’il y ait une note. Avant de faire une note de service, nous allons faire quelque chose de complet avec le hors site. S’il y a un souci quelque part, dites-nous où pour que nous repassions la consigne au manager. Ce sera plus simple. Je ne veux pas faire une note parcellaire, mais une note avec toute l’information et la bonne information.

 

Titres restaurant

CFDT : Concernant les titres resto des salariés d'Avision, vous nous avez répondu que pour bénéficier des TR il faut 10 jours/mois travaillés sans lieu de cantine, et que les samedi-dimanche travaillés ne permettent pas de l'atteindre. Mais ils travaillent aussi le soir jusqu'à 21h15 (horaires postés) et la Rotonde est fermée. Cela peut-il être pris en compte ?

DRH : Les titres restaurant ne peuvent être délivrés qu’en prenant en compte le temps du midi. Un salarié travaillant la nuit ne lui permet pas de bénéficier de ces titres. Par conséquent, nous restons sur la position initiale -10 jours sans cantine si on compte uniquement samedi-dimanche.

 

Franchise

CFDT : Y a-t-il des nouvelles concernant le développement de la franchise ?

DRH : Depuis le comité européen il n'y a pas d'autre information sur la franchise. Dès que le sujet évoluera les informations seront partagées dans un premier temps au CCSE exploitation puis dans les autres CSE. 

CFDT : Par rapport à l’objectif ambitieux qui avait été donné, notamment au CCSE de l’Exploitation, depuis le salon de la franchise (en mars), le fait est qu’il ne se passe rien. Nous n’avons pas d'informations.

DRH : A date, je sais qu’il y a des contacts au salon de la franchise. Cependant, ce n’est pas parce qu’il y a un contact qu’il y a du mouvement un ou deux mois après. Le potentiel franchisé peut changer de franchiseur. Il y a des contacts. J’ai entendu qu’ils qualifiaient les contacts. Les basculent devraient arriver lors des fins de contrats de franchise en cours, ou pas. Nous n’avons pas plus d'informations. 

CFDT : Savons-nous le volume de contact ? Sont-ce plus des supers, des hypers ? 

DRH : Je l’ignore. Comme vous, nous avons eu des informations lors du salon de la franchise. Depuis, nous n’avons rien eu.
 

Pesticides

CFDT : Une très grande majorité des ananas que nous vendons en France sont en provenance du Costa Rica, que ce soit pour les ananas entiers ou les ananas vendus au crownless (sans plumet). Il apparaît de plus en plus clairement, que la culture des ananas provoque des dégâts environnementaux considérables au Costa Rica (https://www.vice.com/en/article/g5ykbx/supermarket-pineapples-toxic-pesticides). Par ailleurs, des médias anglo-saxons ont affirmé que des produits vendus au Royaume-Uni ou aux Pays-Bas ne respectaient pas les réglementations européennes au niveau des pesticides (notamment présence de Chlorothalonil, un fongicide interdit). Avons-nous effectué des tests indépendants sur les ananas vendus en magasins afin d'anticiper un scandale sanitaire qui pourrait arriver jusqu'à nous ?

DRH : Dans le but de se prémunir de ce genre de problème, Auchan a mis en place un plan d'analyse des résidus de pesticides, l’un des plus importants de la GMS avec plus de 1 200 analyses par an sur les différents produits que nous commercialisons. Sur ce plan, nous relevons environ 1 % (tout produit confondu) de non-conformité à la réglementation. Ce plan est constitué en fonction de différents paramètres dont les risques que ce soit dû à l'origine ou médiatiques et l’historique de non-conformité. Ce plan important s'ajoute aux analyses effectuées par nos fournisseurs qui doivent se conformer aux limites de résidus de l’Union Européenne, aux analyses effectuées par les douanes à l’entrée sur le territoire Européen et à ceux de l’administration anglaise. A ce jour, aucune analyse n'a montré la présence de résidu de pesticide sur ce produit et cette origine et aucun rejet à la frontière n’a été opéré par l’administration. Dans le même temps et dans la lignée de la politique de l'entreprise d'être toujours plus proche de la production, notre bureau d’achat via Zenalco (bureau d’achat en Espagne) travaille pour réduire au maximum les intermédiaires et donc d’être le plus en direct possible avec le producteur. Ce qui permet également d'avoir un œil, une maîtrise et une exigence plus forte vis-à-vis de la production dans ces pays. Au-delà des analyses pesticides et à l'image de ce que nous faisons dans nos produits filière « Cultivons le Bon », Auchan montre que le sujet des pesticides et de leur impact sur l’environnement est important pour lui (suivi des fréquences de traitement, en favorisant l’utilisation de méthodes non chimiques, black liste des pesticides...). 

Evaluation professionnelle

CFDT : La fiche de poste Expert Fonctionnel SI, n'existerait plus depuis 2 ans (ainsi que la grille apparemment). Comment ça se passe pour les évaluations de tenue de fonction et l'enjeu RVE ?

DRH : La DSI ne faisant pas exception, nous pratiquons la même politique que pour les autres fonctions qui ne sont plus dans la cible organisationnelle. Sur ce métier, quatre salariés sont encore affectés, deux partent en retraite en 2024. Les quatre n’ont pas signé leur avenant de changement de fonction lors de la mise en place de l’organisation de la DSI en mars 2022. Dans ce cas, la grille est gelée et non revalorisée. Si un changement de tenue de fonction a lieu, nous appliquons l’enjeu de RVE de la grille gelée.

CFDT : Lors d'un changement de métier en cours d'année ayant un enjeu RVE plus important, comment se gère le calcul final ?

DRH : On applique la nouvelle RVE. Il y a eu une époque où nous appliquions au prorata. Maintenant, quand nous changeons pour un nouvel enjeu dans l’année, c’est le nouvel enjeu qui s’applique.  

Communication

CFDT : Les changements de la haute direction d'Auchan (ex. : l'arrivée de Serge Papin, le départ d'Edgard Bonte et l'arrivée d'Antoine Grolin) : A nouveau, nous avons appris cela par la presse, et même après coup, aucune information/explication ne sont redescendues aux salariés, ce qui nous donne le sentiment d'une déconsidération (car forcément ce genre de changement intéresse le salarié), pourquoi ?

DRH : Les nominations/changements dans cette sphère ne relèvent pas de notre compétence. Nous avons appris l'information en même temps que vous dans la presse. Qui plus est, a date la nomination de Serge Papin n'est pas confirmée/officialisée en interne. 

CFDT : Il reste dommage qu’il n’y ait pas une information avant. A une époque, ce type d’information était redescendu aux salariés. Les salariés ne se sentent pas vraiment considérés avec un tel fonctionnement, quand ils découvrent leurs dirigeants dans la presse. 

DRH : Je ne le nie pas. Il n’y a aucune information officielle à date. 

CFDT : Le départ d’Edgar Bonte est officiel. Non ?

DRH : Comme vous, je n’ai pas d’autre information. Il n’y a pas eu de note ou de confirmation. Il n’y a pas eu d’information. Je l’ai moi aussi appris par la presse. Si j’avais d’autres informations, vous les auriez. Quand j’en aurais, si j’en ai, vous les aurez. 

 

Températures dans les bureaux et travaux

CFDT : Par rapport aux basses températures des plateaux (situation qui s'est améliorée récemment, merci), vous indiquiez qu'il y aurait des relevés réguliers afin de vérifier ces températures. Pouvez-vous svp nous préciser comment seront faites ces vérifications (quels plateaux, à quelles heures, pendant une période de quelle durée ?) et comment seront communiqués les résultats (dans tous les cas a minima cela pourrait-il être communiqué régulièrement aux membres de la CSSCT et du CSE) ?

DRH : Un relevé de température est réalisé par l'équipe technique accompagnée de temps en temps par une personne du pôle santé. Le relevé se fait au milieu du plateau, près des fenêtres. Il est réalisé 3 fois sur la journée 8h30-13h30 et 16h30. Pour l'instant il est fait au 5ème étage sur le plateau et les satellites. Les relevés n'ayant pas entraîné de remarque particulière, ils ne sont pas amenés à perdurer dans le temps. En dehors des températures, un premier constat a été fait. Un mauvais réglage des thermostats (-1 au lieu de +1) pourrait expliquer la sensation de froid. Le point est à l’ordre du jour du CSSCT du 14 décembre.

CFDT : Concernant les travaux estimés nécessaires, vous nous indiquiez qu'une enveloppe était allouée chaque année et que ces travaux étaient sur des critères de vétusté et de criticité, ainsi que basés sur l'avancée du Flex-office. Mais nous n'avons pas eu le listing de ces travaux, avec donc les estimations de ces critères, les coûts associés, le planning envisagé. Pouvez-vous nous présenter cela svp ?

DRH : Une présentation des travaux réalisés est faite en CSSCT une fois par an par l'équipe des services généraux. Un suivi est fait à chaque CSSCT sur les avancements.
 

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos délégués CFDT au CSE :
Hugues   Anne-Sophie  Thierry  Fabien
  Hugues     Anne-Sophie   Thierry      Fabien

04/01/2024

Régularisation des titres restaurant à Auchan

Regul-titres-restau.jpg

16:52 Publié dans ARF, Négociations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tickets resto | |  Facebook | | | |

27/12/2023

Prime d'intéressement Auchan : résultat d'un mauvais accord

Résultat d'un mauvais accord...les primes de Progrès et de Performance sont bien en dessous des attentes des salariés.
PPP.jpg

11:53 Publié dans ARF, Négociations | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : primes | |  Facebook | | | |

26/12/2023

Augmentation de la mutuelle Auchan au 1er janvier

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14:32 Publié dans ARF | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mutuelle | |  Facebook | | | |

07/12/2023

Questions CFDT au CSE Auchan ARS/ARA du 22/11/2023

CFDT_CSE.jpg

Projet de modification des horaires de travail de l’équipe comptabilité le samedi 06/01/2024

CFDT : Antérieurement, le volontariat était mis en avant. Ce n’est plus le cas ? Tous ceux qui n’auront pas terminé leur travail au 6 seront-ils obligés de venir ? 

Direction : Oui. Cela concerne essentiellement la comptabilité générale car ce sont eux qui déposent le bilan et les liasses fiscales. La partie des équipes côté comptabilité fournisseur et client sont impactées par les rapprochements intercompagnies. Sur les équipes concernées, ce n’est pas du volontariat.  

CFDT : La charge de travail que cela représente permet-elle d’envisager de clôturer avant cette date ? 

Direction : Nous aurons besoin de travailler le samedi 6 janvier. Comme chaque année jusqu’à présent, nous travaillons le samedi pour assurer les délais de clôture.  

CFDT : 62 personnes seront donc présentes ?

Direction : Oui. Concernant les agents de maîtrise en horaires annualisés, ils ont la possibilité d’être payés de l’entièreté des heures prestées ce 6 janvier ou de rester dans une gestion classique du compteur d’annualisation soit les 1575 heures annuelles dont les 7h de JDS. Pour les salariés en forfait jours, cadres et agents de maîtrise, c’est une journée prestée qui alimente le compteur des 214 jours et donc le repos non pris devra être repositionné avant le 31 mai. Les modalités spécifiques à chaque organisation du travail seront respectées avec le décompte de jours de travail, décompte d’heures supplémentaires, alimentation du compteur d’annualisation, conditions de modification des horaires, limite du nombre d’heures complémentaires. 

Avis CFDT : Selon le contexte qui nous est présenté, à savoir :
- télétravail possible au souhait
- choix de la compensation (paiement ou récupération du jour)
la CFDT émet un avis favorable, avec un bémol sur l'impossibilité de pouvoir achever la clôture avant la date (ce qui en fait un sujet structurel).
En complément, souhait d'avoir un retour au CSE de janvier, sur l'organisation effective de ce 6 janvier.
 

Point de suivi sur la transformation de la DSI

DRH : Le taux d’internes à fin octobre était à 44.7 %, en évolution de 5 % par rapport au dernier trimestre. Nous étions à la cible de ce qui était posé pour 2023. La campagne d’internalisation suit son cours de manière efficace. Les nombres de recrutements en cours concernent des remplacements sur des postes sensibles. Il est question de 4 personnes en delivery, 3 côté ITaaS et 4 côté commerce digital. 81 internalisations ont été faites sur l’année.  

CFDT : Cela représente combien d’internes et d’externes au total ? 

DRH : Il me semble que nous étions à 511 externes à fin octobre pour 412 internes. Il y a un an nous étions à 650 externes.
Il faut souligner les avancées. Nous ne pouvons pas internaliser 200 personnes du jour au lendemain. Cela demande du temps.
 

CFDT : Sur votre tableau, quelle est la différence entre enfant malade et soin enfant ? 

DRH : Ce sont des motifs de gestion dans HR qui sont un peu flous. Je me renseignerai.

CFDT : Est-il possible d’avoir un détail sur le digital ? 

DRH : Sur le +44 % d’incidents du digital, cela était lié à une nouvelle solution de paiement qui  a créé de nombreux incidents lors de sa mise en place. Dès le mois de novembre les incidents auront été réduits car la solution a été adaptée. 
Sur la partie gestion des incidents, il y a encore trop de moments où nous sommes sur un mode silos et où il n’y a pas assez de transversalité. C’est pourquoi en 2024, la prochaine étape est la mise en place de 8 transversalités, c’est-à-dire 8 sujets qui sont impactant pour l’entreprise et qui impactent différents périmètres de l’IT. A chaque fois un expert sera nommé sur cette transversalité et lorsqu’une problématique impactera ce périmètre, ce sera lui qui identifiera tous les périmètres à solliciter et les endroits sur lesquels il faudra mettre le poids du corporate car il y a des problématiques.
 

Conditions de travail 

CFDT : Sujet malheureusement récurrent, chaque année, au moment des changements de températures (mai-juin et octobre-novembre) : La climatisation / le chauffage ne fonctionne pas comme il faut partout (de fréquents exemples de 17° en tout début de journée en ce moment), les courants d'air venant à priori de fenêtres défectueuses / ayant vieilli…
Peut-on espérer un jour un VRAI chantier traitant cela, que l'entreprise dispose enfin d'un système assurément opérationnel, et en cohérence avec les considérations environnementales et les conditions de travail des salariés ?
Constats :

  1. Les clims démarrent le lundi vers 9H après un WE d'arrêt (15 ° programmé)
  2. Au 2ème étage, zone rouge : à 7H le lundi et jusqu'à 11H au moins, il fait plutôt frais sur les plateaux.
  3. Au 2ème étage, zone rouge : mardi matin, les clims ayant fonctionné normalement depuis 1 journée, il fait 18° à 8h (CIS 2ème étage, zone rouge)
  4. Fonctionnement des clim' :

- Le matin sur un demi-plateau, il n'y a qu'une à 2-3 clim' qui chauffent (sur les 8 ou 10).
- Tout dépend si on est à côté d'une fenêtre (plus ou moins bien isolée) ou à côté de la clim qui chauffe.
- Par ailleurs les clims projettent la chaleur vers le haut, donc elles chauffent d'abord le volume en hauteur et ensuite l'atmosphère se réchauffe progressivement vers le bas.
- A priori les clim' sont programmées à 15° jusque 8H30, le temps que les SG arrivent pour modifier la programmation.
Il serait intéressant qu'il y ait une campagne de mesures avec des thermomètres digitaux, sur plusieurs jours, sur la plage 7H - 19H, pour avoir la réalité des températures là où les salariés signalent qu'il fait trop frais. 

DRH : Une enveloppe est allouée tous les ans depuis 4 ans, la priorité est associée en fonction de la criticité/vétusté des installations et l'avancée du projet flex. Concernant les fenêtres il n'y a pas de sujet en tant que tel les fenêtres où nous avions des difficultés ont été changées cette année (bat E). Pour le dysfonctionnement de la climatisation/chauffage, nous avons subi "une casse au 2ème étage" et à ce jour tout est ok. Pour le reste nous respectons les consignes du plan sobriété. Concernant la T° les services généraux vont être vigilants notamment le matin et apporteront des solutions si des problèmes sont détectés. Un relevé de température est réalisé régulièrement par le service de santé au travail et systématiquement à la demande des salariés en cas de température ressentie inférieurs au plan de sobriété. A date aucun relevé de température n’était inférieur à la température minimum. 

CFDT : Le matin lorsque nous arrivons, nous sommes loin des 19°C.

DRH : Une attention particulière va être portée sur ces problématiques
 

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos délégués CFDT au CSE :
Hugues   Anne-Sophie  Thierry  Fabien
  Hugues     Anne-Sophie   Thierry      Fabien

20/11/2023

Questions CFDT au CSE Auchan ARS/ARA du 19/10/2023

CFDT_CSE.jpg

Temps de travail

CFDT : Sur la période qui vient de se clore, combien y a-t-il de CP non pris et perdus ?

DRH : Il y a 859,5 CP qui ont été écrêtés pour 143 collaborateurs.

Commentaire CFDT : Soit l’équivalent de 4 salariés à temps plein travaillant gratuitement toute l’année.

CFDT : Sur cette même période, quel est le nombre de jours total en dépassement de forfait jours ?

DRH : Le nombre de jours de dépassement est de 5607,2 jours pour 1202 collaborateurs, qui va de 0,1 jour à 37,7 jours, ce qui fait une moyenne de 4,66 jours par personne. Un suivi a été réalisé afin d'identifier les causes de ces dépassements. Deux explications à date : l’absence de + 30 jours et le report de RTT de l'année précédente de + 12 jours. En comparaison nombre de jours non réalisés 852,7 jours pour 385 collaborateurs allant de -0,1 jour à -86 jours donc une moyenne de 2,21 jours par collaborateur. Concernant les explications 2 raisons : les absences de + 30 jours et la non réalisation des jours.

Commentaire CFDT : Soit l’équivalent de 26 salariés à temps plein travaillant gratuitement toute l’année.

CFDT : Sur les dépassements de forfaits jours, est-il prévu de payer ? Il y a une jurisprudence qui rappelle que tout le dépassement doit être payé

DRH : C’est à la demande de l’entreprise que le collaborateur peut dépasser. Là, ce n’a pas été à la demande de l’entreprise et notre système nous permet de reporter les RTT. Nous reportons à la période suivante. Il n’y a pas de paiement. 

CFDT : Ce n’est pas ce que dit la jurisprudence. Le dépassement doit être payé. S’il y a un mécanisme et que ça peut être récupéré, dans ce cas, ce n’est plus un dépassement. Notre question porte sur un réel dépassement sans qu’il y ait récupération. A la limite, laissez le choix au salarié entre le paiement et la récupération. 

DRH : A date, nous ne laissons pas le choix. Il y a un report sur l’année suivante. 

CFDT : Le report provoque toujours une fuite en avant. A un moment, il faut arrêter les compteurs et régulariser par un paiement. 

DRH : C’est dans le cadre de l’accord temps de travail que nous sommes en train de négocier. A date, dans l’application de l’accord temps de travail, il y a un report automatique mais c’est un point à l’ordre du jour de l’accord temps de travail.
 

Titres resto

CFDT : Concernant les salariés d'Avision, garderont-ils la possibilité des titres resto, notamment vu qu'ils travaillent le samedi et le dimanche ?

DRH : Les collaborateurs travaillant au 200 rue de la Recherche bénéficient d'une cantine, par conséquent ils ne peuvent pas bénéficier de TR. Qui plus est, pour bénéficier des TR il faut 10 jours/ mois travaillés sans lieu de cantine. Dans le cas d'Avision si nous prenons le samedi-dimanche, nous n'atteignons pas les 10 jours sur le mois sans cantine.

CFDT : Cela ne va pas les ravir dans le contexte du déménagement où ils vont perdre de la qualité sur les conditions de travail qui vont se dégrader, et la perte des avantages comme sur les TR. 

DRH : C’est la règle que nous avons posée.

CFDT : Il y a des choix de déménager que les salariés subissent.  

DRH : Le 200 rue de la Recherche n’a pas de tickets restaurant car il a une cantine, comme tous les sites qui ont une solution de cantine. Le principe pourrait être remis en cause dans de futures négociations mais à date, c’est ce principe qui s’applique. 

CFDT : Dans le cadre d’un déménagement spécifique où les gens subissent un allongement du temps de trajet, la perte des tickets restaurant, une dégradation des conditions de travail puisqu’ils n’auront plus de lumière du jour dans le bunker là où ils avaient de la lumière à Lesquin, c’est un peu dur…  

DRH : Je l’entends mais c’est la règle à date.
 

Inégalité salariale

CFDT : Est-il conforme qu'un nouvel embauché (N4), sans expérience et sans le diplôme, ait le même salaire que le collègue avec de l’ancienneté et le diplôme requis ?

DRH : Notre grille ne prend pas en compte l'obtention d'un diplôme. Si le collaborateur réalise les mêmes missions que ces collègues dans ce cas il est normal qu'il ait le même salaire. Nous avons aussi des cas de dégrillés. Pour mieux répondre, il faudra que je sache de qui il s’agit. 

 CFDT : Nous pourrons préciser. Je pense que c’est un métier spécifique. Pour la personne, pour avoir eu cette classification et donc, la rémunération qui va avec, il a fallu qu’elle attende d’avoir ce diplôme. Curieusement, elle, doit attendre d’avoir le diplôme pour avoir la classification et le salaire qui va avec, par contre, quelqu’un qui arrive sans diplôme est directement sur la classification…

DRH : Nous regarderons. 
 

transfert de l’équipe export OIA et de son activité vers l’équipe export

CFDT : Le passage d’un forfait horaire à un forfait jours doit s’accompagner d’une augmentation de salaire. Vous dites que ça dépend. De quoi va dépendre cette augmentation de salaire ?

DRH : La règle côté France est qu’en cas de passage en forfait jours, il y a une augmentation de 5 % qui est appliquée si des heures supplémentaires sont réalisées par les collaborateurs. C’est pour compenser les heures supplémentaires.

CFDT : S’ils ne font pas d’heures supplémentaires sur leur forfait horaire, ils n’ont pas les 5 % sur le forfait jours ?

DRH : C’est ça mais ils ont les RTT. Ils ont un aménagement du travail qui est différent avec un nombre de jours de RTT changeant selon les années, les jours fériés et autres. C’est un avantage qu’ils gagnent. Sur le plan de la rémunération, l’augmentation de salaire est pour compenser les éventuelles heures supplémentaires. 

CFDT : Ils pourraient avoir une surcharge de travail et commencer à faire plus d’heures en forfait jours, ce qui fait qu’il n’y aurait pas cette compensation. De plus, cela va créer des décalages avec d’autres salariés qui seraient positionnés sur les mêmes métiers, avec la même grille avec des niveaux de rémunération différents à cause de ce passage ?

DRH : L’objectif est une harmonisation pour qu’il n’y ait plus d’écart d’organisation du travail entre des agents de maîtrise côté France qui sont tous au forfait jours et des agents de maîtrise côté OIA qui sont en convention horaire à date. Il faut harmoniser la compensation du changement d’organisation du travail. C’est donc l’obtention des RTT. Si les collaborateurs travaillent davantage sur une journée, la compensation est d’avoir du temps de repos en plus.

CFDT : La règle des 5 % est connue et déjà appliquée. En revanche, c’est la première fois que je vois qu’elle est conditionnée à l’exécution préalable d’heures supplémentaires. C’est une nouveauté ? Cela fait des années que lorsque nous passions en forfait jours, nous avions 5 % en plus mais il n’y avait pas de condition.

DRH : Non, cela a toujours été le cas. Effectivement, je pense que la règle n’a pas été appliquée par tous de la même manière.
Depuis 2 ans que je suis sur les services d’appui, cette règle m’avait été expliquée et est appliquée.
Les modifications apparaîtront dans la convention de transfert pour que les collaborateurs aient connaissance de l’ensemble des règles qui vont leur être appliquées. Concernant les 2 cadres, elles n’auront aucun changement de rémunération ni de durée du travail car ce sont des collaboratrices qui sont déjà au forfait jours. Concernant les différences entre les accords collectifs ARS et OIA qui pourraient impacter les collaborateurs qui vont transférer, il est possible de citer la prime de progrès et de performance. Elle a récemment été revue chez nous. Les accords et les calculs sont différents entre l’OIA et ARS. En revanche, la périodicité trimestrielle est identique.

CFDT : Ce n’est pas suffisamment détaillé. Il faut leur expliquer les écarts et ce que cela va produire s’ils restent côté OIA et ce que cela va produire s’ils passent côté ARS.

DRH : Nous allons fournir les derniers taux.

CFDT : Existe-t-il des différences dans les grilles de salaire ? Auront-ils communication des grilles sur ARS ? Si possible, aurons-nous une information côté CSE pour savoir s’il y a un écart favorable ou non et dans quel sens ?

DRH : Ils auront leur grille et nous réajusterons s’il y a une différence. Je n’ai pas l’information sur la grille côté OIA. Nous ne pouvons pas communiquer en CSE les grilles de l’OIA.

CFDT : Il serait bien de seulement savoir s’il y a un écart favorable ou non et dans quel sens.

DRH : De façon globale, oui.

CFDT : Je suppose qu’il y a des écarts sur la participation et d’autres accords…

DRH : Sauf erreur, sur la participation, OIA est dans le même accord groupe que nous.

CFDT : Ils sont sur le même accord que la France ? Ils n’ont pas un accord spécifique ARI ?

DRH : Je pense que la participation relève d’un accord de groupe mais il faut revérifier.

Commentaire CFDT : ARI/OIA ont bien un accord de Participation différent de la France.

CFDT : Dans la mesure où ce sont les salariés qui décident selon leur choix personnel, et que toutes les informations leur seront bien fournies pour permettre ce choix en pleine connaissance : sur les primes, les impacts du passage en forfait jours, les titres restaurants, etc. (donc au global en sachant qu’ils auront une perte en arrivant chez ARS), nous émettons un avis favorable.
Nous souhaitons par ailleurs avoir un retour au CSE de janvier pour savoir combien ont accepté, et comment cela se passe depuis.
 

Transfert DSI ARI sur ARS

CFDT : Cela fait plusieurs mois que nous entendons certaines choses à propos d’éventuels transferts d’ARI vers ARS ou ARF, sans en savoir plus. Qu’en est-il ?

DRH : La seule information que j’ai est qu’ils sont en train de regarder. De ce que j’ai compris, Etienne de Saint-Martin serait missionné sur le management Data France Corp, Samir sur la même chose mais côté DSI. Ils ont missionné un cabinet côté international. De notre côté, il n’y a pas de sujet. Après l’audit international, je ne sais pas ce qu’il va se passer. J’ai compris que côté Corp, ils se posent la question, par rapport de la taille que ça a pris côté DSI. Nous vous communiquerons les informations quand nous en aurons mais vous savez qu’un audit prend du temps.

Changements sur la gestion des CP

CFDT : Va-t-il y avoir des changements au niveau de la gestion de l’alimentation des CP dans le PERCOL avec éventuellement, une remise en cause des reports ?

DRH : La seule chose qui puisse se produire est relative à la négociation de l’accord temps de travail. Sauf erreur de ma part, nous ne parlons pas de PERCOL dans la négo. 

CFDT : Les reports continuent donc en 2024 ?

DRH : Pour le moment, nous sommes en négo d’un accord. Temps qui n’est pas signé, il ne remet rien en cause. 
Il y a deux choses. Il y a la possibilité de report et il y a la justification du report. Bien évidemment, nous demandons à toutes les directions et tous les managers qu’ils s’organisent pour que leurs collaborateurs prennent 100 % de leurs congés et que, quand il y a de l’arriéré, des plans de récupération soient mis en place. Il est normal de prendre ses congés. L’objectif premier n’est pas de dire que je vais reporter 12 jours mais bien de prendre ses congés.

Commentaire CFDT : L’accord en cours de négo prévoit : « L’objectif des congés payés étant de garantir au salarié une période annuelle de repos, ils doivent, en principe, tous avoir été pris en fin de période et ne peuvent être reportés au-delà.
Dès lors, les congés payés doivent être impérativement posés.
Aucune journée non prestée ne pourra être accolée à une période de congés payés si le congé principal n’a pas été entièrement pris.
Aucun report ne sera admis, sauf suspension du contrat de travail empêchant le salarié d’être en mesure de poser ses congés payés. »
Et pour le PERCOL, il prévoit : « Enfin, chaque année, le salarié ayant posé 24 jours de congés sur la période du 1er juin N-1 au 31 mai N peut capitaliser sa 5ème semaine de congés en la plaçant sur son Plan Epargne Retraite Collectif (PERCOL). Dans ce cadre, et afin de permettre son alimentation lors de la campagne d’abondement, le report est possible. L’alimentation du PERCOL se fait dans les conditions prévues par les accords en vigueur.
Les salariés ne répondant pas aux conditions requises pour l’alimentation du PERCOL ne pourront bénéficier du report des congés payés non pris. »
 

Point à date des deux projets de renforcement temporaire en comptabilité avec l’aide de prestataires extérieurs

CFDT : Apparemment, les salariés se plaignent qu’il faille toujours faire des formations complémentaires et pointent un problème de formation de départ. Cela fait perdre du temps. 

Direction : Ils peuvent connaître un turn-over qui nécessite une formation mais la première couche de formation est effectuée par Docaposte. Cela nous a permis également de réactualiser ou de  créer des books de formation que nous n’avions pas, grâce à Docaposte. Nous avons des collaborateurs qui viennent une demi-journée par semaine sur un sujet très spécifique comme les box fournisseurs, particularités assez complexes. Par rapport à la situation antérieure, nous avions des collaborateurs qui formaient 5j/5 des intérimaires, et pendant ce temps-là, ces collaborateurs ne touchaient pas à leur charge. C’était donc la double peine. 

CFDT : En tout cas, les salariés se plaignent que cela engage plus de charge de travail que ça n’en allège et que le système ne fonctionne pas du tout. 

Direction : Je pense que c’est un ressenti. Entre mai et octobre 2023, environ 22 K factures échues étaient en attente de traitement. Nous sommes descendus à 14 K. Nous avons demandé à Docaposte de traiter les flux entrants puis, avec la formation sur la relance, de monter sur les vieilles factures. Souvent, ce sont des problématiques plus complexes qui nécessitent plus d’expérience. 
Quand on parle de backlog, il faut avoir une image de baignoire. L’objectif premier était de réduire l’entrant et que la baignoire se remplisse moins vite. Nous sommes dans une seconde phase où nous voulons vider la baignoire via les opérations de relance qui sont plus complexes. Si nous n’avions pas coupé le flux entrant, nous n’aurions pas de réduction de backlog.

CFDT : Il y a peut-être un problème de vision globale. Au cas par cas, il peut y avoir des salariés qui, comme ils doivent repasser derrière les dossiers de Docaposte, ont des problématiques de surcharge. Ils doivent faire leur travail mais aussi vérifier celui de Docaposte. 

Direction : Tant que Docaposte n’est pas formé à la relance, il y a cette barrière sur le fait qu’ils ne font qu’une partie du travail. Pour le moment, nous sommes au point d’inflexion. Les données sont froides, nous voyons que le backlog baisse et c’est le premier indicateur.

CFDT : Est-il possible de préciser le coût ? 

Direction : C’est 500 K € sur l’année pour Docaposte. 

CFDT : On pourrait comparer avec le coût que cela pourrait avoir en termes d’intérim ?

Direction : Nous ne comparons pas avec un coût d’intérim mais nous comparons sur la dégradation de notre relation fournisseurs si nous ne le faisions pas. C’est un coût qualitatif. Sans avoir fait le calcul, je ne pense pas que cela fasse un coût supplémentaire par rapport aux intérimaires. 

CFDT : Il y avait un questionnaire fait après des salariés il y a 2 ans, ne faut-il pas le reprendre ? 
Et si vous pouvez déjà nous retourner le questionnaire et les résultats de l’époque ?

DRH : Nous le retrouverons et nous ferons un point. Je vous laisse revenir vers moi. L’objectif est que le questionnaire soit envoyé et les réponses traitées pour le CSE de février. 

CFDT : Avez-vous fait un retour ou prévu de le faire aux équipes sur ces éléments ? L’évolution du backlog, le retour du questionnaire, etc.

Direction : Le backlog, c’est permanent. Ils suivent eux-mêmes. C’est notre KPI numéro un. Le retour du questionnaire, nous ne l’avons pas encore fait. 

CFDT : Nous vous invitons à leur faire un retour là-dessus. 

Direction : Nous le ferons plutôt début novembre.
DRH : Nous le ferons après les vacances scolaires pour avoir tout le monde. 
 

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos délégués CFDT au CSE :
Hugues   Anne-Sophie  Thierry  Fabien
  Hugues     Anne-Sophie   Thierry      Fabien

10/10/2023

Questions CFDT au CSE Auchan ARS/ARA du 27/09/2023

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File informatique des sites 

CFDT : Vous avez indiqué « Ajustement à la cible des ressources nécessaires après la remise aux normes ». Avons-nous une tendance pour savoir quel sera l’impact sur les effectifs et l’emploi ? 

DRH : Nous avons identifié une internalisation de 7 ETP à partir d’avril. C’est la cible posée. Le test permettra de voir si cela est cohérent.
Il y avait la question d’un RIS bientôt à la retraite. « Mon responsable est au courant, mais aucune démarche pour me trouver un remplaçant ; j'ai la certitude que notre métier va disparaître et que des prestataires feront notre job. Cela concerne quand même plus de 50 personnes !! Est-ce que le métier de RIS va disparaître au profit de sociétés de service ? »
Nous sommes dans une démarche inverse avec l’internalisation, y compris pour la file informatique des sites. Ils étaient à 90 % internes. Il restait quelques externes. Nous en avons internalisé trois depuis le début de l’année et nous continuons de le faire. Le recours à la prestation est aujourd’hui en logistique. Avec le passage de la file informatique des sites sur les entrepôts, nous arrêtons le contrat de prestation et nous internalisons. Pour les départs en retraite, ils sont tous écrits en remplacement pour 2024.
Il y a une vraie volonté d’internaliser et de rééquilibrer les internes et externes sur la DSI. La politique est enclenchée depuis trois ans. A date, nous avons encore fait une cinquantaine d’internalisation cette année. Nous sommes sur les mêmes volumes en cible l’année prochaine. Nous sommes à plus de 60.


Flex-Office
 

CFDT : Aurons-nous les dates précises de déploiement ? 

DRH : Nous sommes sur un planning type qui sera adapté par périmètre.  

CFDT : Par rapport au COPIL, il y a un manque : l’absence de membres du CSE. Nous avons une instance officielle et importante. On y trouve les services généraux, les RH, la médecine du travail, les assistantes mais pas de représentants du personnel ! 

DRH : Nous vous retrouvons dans le groupe de travail. 

CFDT : Là où tout le monde peut aller.  

DRH : Non, tout le monde peut aller dans les ateliers avec les volontaires et non dans le groupe de travail par direction.
Le COPIL est un travail en amont. Les élus n’ont aucun intérêt à venir sur cette partie. 

Commentaire CFDT : Le document indique « Autres volontaires » comme participants au groupe de travail par direction.


GDI

CFDT : Vous nous aviez répondu : « Le collaborateur qui avait un cycle au-delà du 1er mars a eu l'intégration de son indemnité à partir de janvier 2023, donc il n'y a pas de perte. En effet, le paiement de sa GDI aurait eu lieu en 2023. » Effectivement l'intégration s'est faite à partir du 01/01/23, donc de janvier à mars 155,97x3 = 467,91 car fin de cycle Mars, ce qui ne fait pas un an de GDI (manque 9 mois par rapport aux personnes des cycles de janvier et février qui ont touché leur GDI entièrement de 2022 + l'intégration de l'indemnité donc 600+600+intégration de leur indemnité à partir de février ou mars, donc bien une perte). « En effet, le paiement de sa GDI aurait eu lieu en 2023 » Oui, mais pour ce qui concerne la GDI de 2023, et non de 2022. Ne voyez-vous pas qu’il y a un problème ? Qu’il manque 2022 ? 

DRH : Ils n'ont rien perdu, certaines personnes ont gagné plus que si la GDI avait été maintenue, d'autres ont eu uniquement la compensation. On ne peut pas parler de perte lorsque le collaborateur n'avait aucun droit au départ sur cette somme.
Concernant le sujet de la GDI, un accord a été conclu en 2023 pour y mettre fin. Nous avons déjà abordé les différentes questions lors des CSE précédents. Sur les problématiques individuelles, il convient de les remonter au niveau des RRH pour un traitement spécifique. Nous n’aborderons plus de problématique individuelle dans le CSE. 

CFDT : Nous sommes bien sur des réclamations individuelles et collectives en CSE. C’est le lieu pour traiter ce genre de choses. Ce sont des exemples qui illustrent une problématique collective.  

DRH : Sans avoir pas la personne derrière, nous ne saurons pas répondre. La problématique reste individuelle et doit être traitée par le RRH de la direction concernée. 

CFDT : La façon dont a été traité le cas en question a privé le salarié de la partie 2022. 

DRH : Nous avons signé un accord. Je ne reviendrai pas dessus. 

CFDT : Vous avez mis en place un système qui n’est pas dans l’accord, celui des catégories des quatre cas prévus. Les cas de figure ne sont pas négociés. Vous les avez fixés unilatéralement. 

DRH : Il y a des paliers. J’ai déjà répondu, je ne le ferai plus. Un process est en place.

CFDT : Démontrez qu’il n’y a pas eu de perdants. Vous affirmez sans démontrer. Les personnes font le calcul et font la comparaison avec ce qu’elles auraient dû toucher dans le cas classique et dans le cas de cette suppression. Elles voient bien qu’il manque un morceau. Si votre position est d’être dans le déni, nous le notons et nous la relaierons aux salariés.

DRH : C’est votre point de vue. Je ne ferai aucune démonstration. J’ai répondu.

CFDT : Il y a une autre question. Suite à un départ en retraite, un salarié constate qu'il lui manque une partie de sa GDI. Avant la suppression de la GDI, il aurait dû percevoir sa GDI sur une année au mois d'avril (payable en 2 fois) + le prorata jusqu'à son départ, soit 3 mois. Or, à ce jour, il n'a perçu que l'indemnité compensatrice de janvier à juin, soit 6 mois, donc un manque à gagner de 9 mois soit 1 450 €. Maintenez-vous qu'il n'y a pas de perdant ?

DRH : Pour les cas spécifiques et individuels, il convient de prendre attache directement avec le RRH pour vérifier la situation. Je maintiens qu’il n’y a pas de perdant. Une réponse a été faite.

CFDT : Le service RH a déjà répondu qu’il n’y aurait rien d’autre. Est-ce utile d’indiquer le nom des personnes ou votre démarche est-elle de dénier ? La réponse faite n’est pas correcte. 

DRH : Ma réponse est faite et claire. Le RRH concerné a donc vérifié. 

CFDT : Oui pour 2023, mais il n’a pas vérifié sous l’angle de la GDI 2022. Il y a un problème que vous ne voulez pas regarder. Est-ce que ça servira si nous précisons les personnes ?

DRH : C’est avec quel RRH et quelle direction ? Envoyez-les-nous par mail. Nous allons regarder.


RVE

CFDT : Nous n'avons pas trouvé la note de cadrage RVE sur la Box (à part celle de 2022). Pouvez-vous nous indiquer où la trouver ou nous l'envoyer ?

DRH : Je vous enverrai la note RVE qui est normalement destinée qu’aux managers. 

CFDT : Si celle de 2022 était publique, pourquoi celle de 2023 ne le serait pas ? Lors du dernier CSE, vous nous avez dit que nous la trouverions sur la box.

DRH : C’est la même. J’ai dit une bêtise car la note RVE ne doit pas être diffusée sur la box. Elle n’a rien à y faire, c’est une erreur. 


Forfait jours

DRH : On ne peut pas on imposer des horaires de début et de fin de poste à un cadre, mais nous pouvons imposer une présence/disponibilité pour répondre aux besoins client. Par exemple, être disponible entre 9h30 et 17h30. 

CFDT : Il faut distinguer si le cadre est en forfait jours ou en horaire. Ce n’est pas la même règle. Là, il s’agit de forfait jours. Vous pouvez fixer des plages de service mais si vous fixez un horaire à respecter à un cadre au forfait jours, il n’est pas autonome dans l’organisation de son temps de travail et n’a donc pas vocation à être au forfait jours. A partir du moment où vous fixez des horaires, le forfait jours tombe. 

DRH : Nous ne fixons pas d’horaires, mais des tranches de disponibilité. 

Commentaire CFDT : Voilà une bien subtile distinction qui pourrait avoir du mal à convaincre les juges. Précision : si le forfait jours tombe, toutes les heures au-delà de 35h hebdo doivent être payées avec la majoration.
 

Démission pour suivre son conjoint

CFDT Pour un salarié amené à suivre son conjoint, comment cela se passe-t-il au niveau de la rupture du contrat de travail et des indemnités ?

DRH : Le collaborateur peut démissionner pour suivre son conjoint. Il n'y a pas d'indemnité particulière liée à ce mode de rupture. Cependant, pôle emploi peut indemniser le collaborateur au titre du chômage à ce titre selon les règles qui lui son propre.
 

Qualité de Vie au Travail

CFDT : Lors d'un CSE il y a quelques mois, nous évoquions le besoin d'expression de chaque salarié sur la QVT. L'outil de sondage antérieur n'étant plus actif, vous réfléchissiez à une nouvelle méthode de recueil régulier. => qu'en est-il ?

DRH : Nous n'avons pas connaissance d'un ancien outil permettant de réaliser des sondages QVT. Par contre, avec le nouvel outil BES, nous pouvons réaliser des sondages ciblés. 

CFDT : C’était une application web sur laquelle nous pouvions nous exprimer. Nous avions compris que nous n’attendrions pas le BES pour permettre aux salariés de s’exprimer, mais le faire par le biais d’un outil. 

DRH : Il n’y a pas à date, un outil permettant de questionner sur la QVT. Cela ne me parle pas. Ça m’intéresse que vous retrouviez le nom pour creuser avec les équipes concernées. Nous devons à peu près parler de la même chose. Avant, la plateforme du BES était leadée par le Corp avec un BES par an et c’était la même enquête au même moment avec tous les pays sans pouvoir faire autrement. Dans l’avant-dernière négociation, ils ont négocié une fonctionnalité dans cette plateforme permettant de faire des sondages sur des populations plus ciblées. C’est ce qui avait été fait l’an dernier où il y avait eu un BES spécifique manager. 

CFDT : C’est Smarty. Cela avait démarré en 2020 en DSI et c’était un outil permettant de questionner la QVT. 

DRH : Nous allons nous renseigner. 
 

Bâtiments Centrale 

CFDT : Que vont devenir les bâtiments A et B ?

DRH : Il n’y a pas de décision à date. Il n’est pas envisagé de remettre qui que ce soit dans les bâtiments A et B par rapport à la problématique de passoire énergétique. Il n’y a pas de secret non plus sur l’intention de rapprocher la direction produits côté grande centrale pour la proximité des box et la proximité de la cuisine. Nous envisageons un jeu de chaises musicales.
 

Hausse des tarifs des machines distributrices de café
           
CFDT : 1er) Constat durant la S37 : prix de 0,35 € (coût "normal") le 12/09 ; +0,05 € le 13/09 ; encore +0,05 € constaté le 14/09 matin et encore +0,05 € constaté le 14/09 après-midi (!!?!)
=> hausse totale de 40 % du 12 au 14/09, ce qui est énorme et sur un créneau très court (et cela juste après l'interdiction des machines à café personnelles, cela passe mal).
2e) Constat le 18/09 matin : à nouveau 0,40 € (?!). Il n'est pas normal d'avoir de telles fluctuations. Y a-t-il un suivi/une vérification des prix appliqués par le partenaire ? Quel est le plan d'évolution tarifaire du partenaire pour ces distributeurs de café ? Où en est l'idée d'un espace "café - détente" sécurisé (avec machines personnelles) dans nos locaux ?

DRH : Concernant ces hausses, il y a eu une erreur de la part du prestataire, cette anomalie lui a été remontée. Pour le suivi/vérification des prix, une personne est mandatée dans l'équipe de Grégory. Le plan tarifaire est, quant à lui, suivi par la DAI. Enfin, concernant la création d'un espace "café-détente", l'idée n'a pas été retenue, car contraire au contrat négocié avec le prestataire.

Restaurant d'entreprise

CFDT : le partenariat avec API devait durer jusqu’en novembre 2022, pour ensuite rentrer dans une renégociation de contrat/voire d'autres partenaires éventuels. => qu'en est-il ?

DRH : Au vu de l'inflation et de la situation économique actuelle des entreprises, il a été décidé de renégocier pendant 1 ou 2 ans avec API. Les négociations sont en cours. 

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos délégués CFDT au CSE :
Hugues   Anne-Sophie  Thierry  Fabien
  Hugues     Anne-Sophie   Thierry      Fabien

14/09/2023

Questions CFDT au CSE Auchan ARS/ARA du 24/08/2023

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BES 

CFDT : Concernant le baromètre d’engagement et satisfaction, qui devient une enquête annuelle. La fréquence augmente, mais prévoyez-vous des actions derrière ? 

DRH : L’an dernier, il n’avait pas été décidé que nous aurions un BES annuel au niveau du Groupe. Cela a évolué depuis. L’an dernier, avec le BES Master, à savoir le complet, nous avions demandé à ce qu’il n’y ait pas, vu la quantité de projets, de plans d’actions « fleuve ». Nous avions demandé à ce que chaque manager travaille, dans son périmètre, les actions nécessaires par rapport au diagnostic. Nous n’avons pas de suivi de ces plans d’actions. Maintenant, dans la présentation que vont faire les managers à leurs équipes sur le lancement d’un nouveau BES, nous commençons par un état des lieux bilan de ce qui s’est passé depuis le dernier BES et les actions mises en place par rapport au diagnostic qui avait été posé. Ce sera systématiquement abordé dans la présentation du nouveau BES. Nous allons continuer de fonctionner en mode « light » selon cette méthodologie. Chaque manager sera responsable des actions dans son périmètre. 

GDI :

CFDT : Nous n'avons pas eu toutes les réponses à nos questions concernant la GDI lors du CSE de Mai. Pouvez-vous indiquer le nombre de salariés selon les différents cas ? Y a-t-il des cas qui ne sont pas prévus dans votre document ?

DRH : Concernant les cas indiqués lors du CSE du mois d'avril, l'ensemble des collaborateurs rentrent dans l'une des catégories. Pour le nombre de salarié dans les différentes catégories, le SIRH n'est pas en capacité de réaliser ce chiffrage. C’est une requête impossible de façon informatique. Il faudrait le faire manuellement pour chaque personne.

Commentaire CFDT : Nous sommes plusieurs informaticiens à la CFDT. La requête est parfaitement réalisable, mais c'est plus facile d'incriminer l'informatique pour éviter de répondre. La demande n'a d'ailleurs pas été faite à l'équipe SIRH.

CFDT : Pour ceux en fin de cycle GDI au 28/02/23, vous indiquez « ils gagnent » (2 200 €), mais que « personne n’est perdant ». S’il y a des gagnants, il y a des perdants. Exemple d’une GDI période du 01/03/2022 au 31/03/2023 : Le salarié perd l'année de sa GDI de 2022. Pourquoi ne pas avoir donné la GDI 600+600 et 10x100 (2 200 €) au lieu de rien et 12x100 (1200 €) ?

DRH : Le collaborateur qui avait un cycle au-delà du 1er mars a eu l'intégration de son indemnité à partir de janvier 2023 donc il n'y a pas de perte. En effet, le paiement de sa GDI aurait eu lieu en 2023.

CFDT : Il y a toujours cet écart qui fait que, selon la date, à un ou deux jours près, il y a une inégalité de traitement. Cela créé des frustrations. Il est dommage de ne pas avoir terminé un cycle afin que tout le monde soit sur le même pied d’égalité. 

DRH : C’est l’accord que vous avez signé. 

CFDT : Non, ce mécanisme n’apparaît pas dans l’accord ni dans les annexes. L’accord fait le calcul de la moyenne intégrée. Il ne fixe pas ce système avec les cas et les cycles.

DRH : Nous nous sommes surtout engagés sur le fait qu’il n’y aurait pas de perte. Certains ont gagné en plus, mais aucun collaborateur n’a eu de perte. C’est la règle. Il y a forcément une date. 

CFDT : Cela a créé des inégalités et frustrations pour ceux qui ne rentrent pas dans les grands gagnants. Ils s’estiment donc perdants.
 

Congé d’absence exceptionnelle

CFDT : Le parrainage civil donne-t-il bien droit à une journée d'absence autorisée, comme pour les baptêmes religieux ?

DRH : Le baptême, la communion solennelle (profession de foi) d’un enfant pour la pratique de la religion catholique ou les équivalents lorsqu’ils existent pour les autres religions donnent lieu à avoir une journée. Ce n’est pas le cas du baptême civil.
La convention collective prévoit uniquement pour la pratique d’une religion. Le baptême civil n’est pas une religion et n’ouvre pas droit à une journée. 

CFDT : Donc, la convention collective traite moins bien la République que les religions. Auchan pourrait corriger cela. Nous verrons lors des prochaines NAO.
 

Surcharge en compta 

CFDT : Les intérimaires de Docapost changent souvent car ils ne restent pas, donc il faut toujours reformer des nouveaux. Nos résultats se dégradent surtout en LD (livraison direct). Sachant que l'on demande aux salariés de la compta de faire ou refaire des dossiers fait chez Docapost qui ne s'en sort pas, et de faire leur relance car les fournisseurs se plaignent de ne pas être payé, cela devient ingérable Ne vaudrait-il pas mieux envisager d'autres mesures maintenant, avant que cela devienne plus inquiétant ?

DRH : Il s'agissait de la situation au mois de juin. Les mois de juillet et août ont été propices à la montée en puissance de Docaposte et la réaffectation des intérimaires sur le périmètre logistique. Concernant les relances, pour le moment, le traitement de la relance (email ou téléphonique) est envisagé sur la fin d'année 2023 (conformément au plan de montée en puissance). Nous avons procédé de la même manière avec Armatis.
 

Titres restaurant

CFDT : Pouvez-vous nous indiquer le nombre de salariés ARS/ARA éligibles aux chèques restaurant (la fois la dernière nous avions demandé le nombre de salariés ayant commandé des chèques restaurant) ?

DRH : 554 collaborateurs sont éligibles au TR sur ARS-ARA.

CFDT : Sur l'indicateur 711 du bilan social, il manque la restauration. Avez-vous prévu de l'intégrer pour les tickets restau à partir de 2023 ?

DRH : Effectivement, cette information n'est pas présente dans le bilan social, car cela concernait les données au titre de l'année 2022. Les titres restaurants ont été mis en place en 2023. Oui, on prévoit d'intégrer cette donnée dans le bilan 2023.
 

RVE

CFDT : Concernant la RVE : Quel est le taux maximum d’acompte prévu ? (Il devait être défini par la DG début juillet). Le débriefe « Feedback n°1 » a-t-il un lien avec l’acompte de la RVE ?

DRH : Le taux d’acompte a été fixé cette année à un maximum de 25 %. Concernant le Feedback 1, il est bien prévu de faire un point sur les objectifs. En fonction de sa date de réalisation, car certains ont eu lieu avant la détermination du taux d’acompte, il y a du sens à aborder l’acompte RVE. En termes de date et de période, l’acompte a été connu début juillet. Des débriefes ont eu lieu en juin durant lesquels il a été question des objectifs, mais pas des acomptes car nous sommes sur une période de quatre mois. 

CFDT : Certains pourraient-ils avoir un taux d’acompte plus faible en lien avec cet entretien ?

DRH : Le taux d’acompte n’est pas systématiquement à 25 % pour tout le monde. Il est adapté à la réalisation des objectifs, c’est pourquoi j’ai dit un maximum de 25 %.

CFDT : Ce Feedback 1 pourrait-il l’impacter ? 

DRH : Qu’il y ait ou non un entretien, nous faisons un feedback. Comme tous les ans, l’acompte peut être impacté selon la réalisation des objectifs. Ce n’est pas le feedback qui impacte. C’est plus ou moins appliqué selon les endroits, mais il n’y a pas de nouveauté. 

Commentaire CFDT : Quelques jours plus tard nous avons appris que des salariés n’avaient pas eu leur acompte RVE suite au débriefe « Feedback n°1 ». 

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Hugues   Anne-Sophie  Thierry  Fabien
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28/08/2023

Marc s'en est allé...

Vanhoenacker-Marc.jpgC'est avec une grande tristesse que nous apprenons le décès de Marc Vanhoenacker survenu le 25 aout 2023 à l'âge de 70 ans, à Narbonne.

Entré à Auchan en 1991, Marc avait démarré la section CFDT Auchan Centrale en 2006, et en avait été l'un des délégués syndicaux et représentant syndical au CE, toujours au service des autres avec son flegme So British.

Avant son départ en retraite en 2014, Marc travaillait en DSI Département Projet Intégration et Qualification en tant que chargé d'études. 
Nous repensons à toutes ces années passées ensemble.
C'est un ami qui nous quitte, mais qui restera avec nous, partout où nous irons.

Toutes nos pensées vont à sa famille et à ses proches.

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