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14/09/2023

Questions CFDT au CSE Auchan ARS/ARA du 24/08/2023

CFDT_CSE.jpg

BES 

CFDT : Concernant le baromètre d’engagement et satisfaction, qui devient une enquête annuelle. La fréquence augmente, mais prévoyez-vous des actions derrière ? 

DRH : L’an dernier, il n’avait pas été décidé que nous aurions un BES annuel au niveau du Groupe. Cela a évolué depuis. L’an dernier, avec le BES Master, à savoir le complet, nous avions demandé à ce qu’il n’y ait pas, vu la quantité de projets, de plans d’actions « fleuve ». Nous avions demandé à ce que chaque manager travaille, dans son périmètre, les actions nécessaires par rapport au diagnostic. Nous n’avons pas de suivi de ces plans d’actions. Maintenant, dans la présentation que vont faire les managers à leurs équipes sur le lancement d’un nouveau BES, nous commençons par un état des lieux bilan de ce qui s’est passé depuis le dernier BES et les actions mises en place par rapport au diagnostic qui avait été posé. Ce sera systématiquement abordé dans la présentation du nouveau BES. Nous allons continuer de fonctionner en mode « light » selon cette méthodologie. Chaque manager sera responsable des actions dans son périmètre. 

GDI :

CFDT : Nous n'avons pas eu toutes les réponses à nos questions concernant la GDI lors du CSE de Mai. Pouvez-vous indiquer le nombre de salariés selon les différents cas ? Y a-t-il des cas qui ne sont pas prévus dans votre document ?

DRH : Concernant les cas indiqués lors du CSE du mois d'avril, l'ensemble des collaborateurs rentrent dans l'une des catégories. Pour le nombre de salarié dans les différentes catégories, le SIRH n'est pas en capacité de réaliser ce chiffrage. C’est une requête impossible de façon informatique. Il faudrait le faire manuellement pour chaque personne.

Commentaire CFDT : Nous sommes plusieurs informaticiens à la CFDT. La requête est parfaitement réalisable, mais c'est plus facile d'incriminer l'informatique pour éviter de répondre. La demande n'a d'ailleurs pas été faite à l'équipe SIRH.

CFDT : Pour ceux en fin de cycle GDI au 28/02/23, vous indiquez « ils gagnent » (2 200 €), mais que « personne n’est perdant ». S’il y a des gagnants, il y a des perdants. Exemple d’une GDI période du 01/03/2022 au 31/03/2023 : Le salarié perd l'année de sa GDI de 2022. Pourquoi ne pas avoir donné la GDI 600+600 et 10x100 (2 200 €) au lieu de rien et 12x100 (1200 €) ?

DRH : Le collaborateur qui avait un cycle au-delà du 1er mars a eu l'intégration de son indemnité à partir de janvier 2023 donc il n'y a pas de perte. En effet, le paiement de sa GDI aurait eu lieu en 2023.

CFDT : Il y a toujours cet écart qui fait que, selon la date, à un ou deux jours près, il y a une inégalité de traitement. Cela créé des frustrations. Il est dommage de ne pas avoir terminé un cycle afin que tout le monde soit sur le même pied d’égalité. 

DRH : C’est l’accord que vous avez signé. 

CFDT : Non, ce mécanisme n’apparaît pas dans l’accord ni dans les annexes. L’accord fait le calcul de la moyenne intégrée. Il ne fixe pas ce système avec les cas et les cycles.

DRH : Nous nous sommes surtout engagés sur le fait qu’il n’y aurait pas de perte. Certains ont gagné en plus, mais aucun collaborateur n’a eu de perte. C’est la règle. Il y a forcément une date. 

CFDT : Cela a créé des inégalités et frustrations pour ceux qui ne rentrent pas dans les grands gagnants. Ils s’estiment donc perdants.
 

Congé d’absence exceptionnelle

CFDT : Le parrainage civil donne-t-il bien droit à une journée d'absence autorisée, comme pour les baptêmes religieux ?

DRH : Le baptême, la communion solennelle (profession de foi) d’un enfant pour la pratique de la religion catholique ou les équivalents lorsqu’ils existent pour les autres religions donnent lieu à avoir une journée. Ce n’est pas le cas du baptême civil.
La convention collective prévoit uniquement pour la pratique d’une religion. Le baptême civil n’est pas une religion et n’ouvre pas droit à une journée. 

CFDT : Donc, la convention collective traite moins bien la République que les religions. Auchan pourrait corriger cela. Nous verrons lors des prochaines NAO.
 

Surcharge en compta 

CFDT : Les intérimaires de Docapost changent souvent car ils ne restent pas, donc il faut toujours reformer des nouveaux. Nos résultats se dégradent surtout en LD (livraison direct). Sachant que l'on demande aux salariés de la compta de faire ou refaire des dossiers fait chez Docapost qui ne s'en sort pas, et de faire leur relance car les fournisseurs se plaignent de ne pas être payé, cela devient ingérable Ne vaudrait-il pas mieux envisager d'autres mesures maintenant, avant que cela devienne plus inquiétant ?

DRH : Il s'agissait de la situation au mois de juin. Les mois de juillet et août ont été propices à la montée en puissance de Docaposte et la réaffectation des intérimaires sur le périmètre logistique. Concernant les relances, pour le moment, le traitement de la relance (email ou téléphonique) est envisagé sur la fin d'année 2023 (conformément au plan de montée en puissance). Nous avons procédé de la même manière avec Armatis.
 

Titres restaurant

CFDT : Pouvez-vous nous indiquer le nombre de salariés ARS/ARA éligibles aux chèques restaurant (la fois la dernière nous avions demandé le nombre de salariés ayant commandé des chèques restaurant) ?

DRH : 554 collaborateurs sont éligibles au TR sur ARS-ARA.

CFDT : Sur l'indicateur 711 du bilan social, il manque la restauration. Avez-vous prévu de l'intégrer pour les tickets restau à partir de 2023 ?

DRH : Effectivement, cette information n'est pas présente dans le bilan social, car cela concernait les données au titre de l'année 2022. Les titres restaurants ont été mis en place en 2023. Oui, on prévoit d'intégrer cette donnée dans le bilan 2023.
 

RVE

CFDT : Concernant la RVE : Quel est le taux maximum d’acompte prévu ? (Il devait être défini par la DG début juillet). Le débriefe « Feedback n°1 » a-t-il un lien avec l’acompte de la RVE ?

DRH : Le taux d’acompte a été fixé cette année à un maximum de 25 %. Concernant le Feedback 1, il est bien prévu de faire un point sur les objectifs. En fonction de sa date de réalisation, car certains ont eu lieu avant la détermination du taux d’acompte, il y a du sens à aborder l’acompte RVE. En termes de date et de période, l’acompte a été connu début juillet. Des débriefes ont eu lieu en juin durant lesquels il a été question des objectifs, mais pas des acomptes car nous sommes sur une période de quatre mois. 

CFDT : Certains pourraient-ils avoir un taux d’acompte plus faible en lien avec cet entretien ?

DRH : Le taux d’acompte n’est pas systématiquement à 25 % pour tout le monde. Il est adapté à la réalisation des objectifs, c’est pourquoi j’ai dit un maximum de 25 %.

CFDT : Ce Feedback 1 pourrait-il l’impacter ? 

DRH : Qu’il y ait ou non un entretien, nous faisons un feedback. Comme tous les ans, l’acompte peut être impacté selon la réalisation des objectifs. Ce n’est pas le feedback qui impacte. C’est plus ou moins appliqué selon les endroits, mais il n’y a pas de nouveauté. 

Commentaire CFDT : Quelques jours plus tard nous avons appris que des salariés n’avaient pas eu leur acompte RVE suite au débriefe « Feedback n°1 ». 

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos délégués CFDT au CSE :
Hugues   Anne-Sophie  Thierry  Fabien
  Hugues     Anne-Sophie   Thierry      Fabien

20/07/2023

Questions CFDT au CSE Auchan ARS/ARA du 23/05/2023

CFDT_CSE.jpgFlex-office 

CFDT : Par rapport à cette mise en place du flex-office, le GO est donné. Toutefois, il reste encore beaucoup de travail avant de lancer le projet. Les groupes de travail vont seulement débuter. Les remarques amenées par le rapport d’expertise doivent être prises en compte. Nous sommes loin d’enclencher concrètement le projet. 

DRH : Nous ne sommes pas loin d’enclencher, nous déployons. Quoi qu’il arrive, il n’y a pas de remise en cause du déploiement. En revanche, tout un travail de préparation doit être réalisé au fur et à mesure que les directions vont pouvoir se lancer dans le déploiement tout en tenant compte des remarques de l’expertise et de tous les éléments déjà fournis en termes de réponse sur les groupes de travail qui vont se mettre en marche. Les groupes de travail ne vont pas durer six mois. L’objectif est d’avancer correctement et de ne pas rester dans une zone floue où des collaborateurs sont en flex depuis le POC, qui ne sont pas en configuration définitive et qui ne pourront pas passer en configuration définitive tant que tout le monde ne sera pas passé en flex. L’engagement pris de travailler les locaux et de travailler en donnant davantage de salles de réunions, de box et de matériels ne pourra pas être tenu tant que tout le monde ne sera pas passé en flex et que nous n’aurons pas identifié les zones d’atterrissage de tout le monde pour pouvoir lancer les travaux. Ce n’est pas quelque chose qui va s’étaler sur deux ans. 

Avis CFDT rendu au CSE : La préparation au déploiement du flex-office, son fonctionnement, a manqué clairement d’une démarche partant des besoins des salariés et des équipes, d’une vraie réflexion sur l’organisation du travail qui ne soit pas juste basée sur la réduction du nombre de bureau ou l’économie de mètre carré.
Le flex-office est souvent promu comme un moyen de revoir les manières de travailler et de coopérer. Ce point peut faire sens dans les activités de projet où l’espace de travail est mis au service des collaborations entre différents métiers, c’est moins le cas pour les activités de siège classiques (comptabilité, juridique, etc.). Et ce mode d’organisation ne serait pas sans risques pour le bien-être des salariés d’après des chercheurs en science de gestion et des organisations, et le cabinet qui a fait l’expertise en Centrale.         
Le flex-office est par ailleurs un corollaire du télétravail, alors pourquoi l’imposer à des personnes qui ne font pas de télétravail ?
Les salariés qui participent au test nous avaient remonté de nombreux problèmes, notamment les suivants :
- difficultés pour trouver les collègues,        
- dépersonnalisation, 
- outil de réservation pas adapté (pas flexible, bugs, doublon de saisi...),  
- droit à la déconnexion remis en cause (il faut se connecter 30 minute avant d’être au boulot pour confirmer sa place, comme si la suppression des pointeuses n’avait pas suffi à élargir le temps de travail non rémunéré des employés),
- problème de management de proximité et de suivi des alternants,           
- perte de confidentialité et d’infos,  
- bruit accru,  
- incivilités et vols de matériel,         
- des casiers éloignés, pas envies de sortir le matériel,       
- complexification,     
- fatigue accrue,         
- perte de productivité, d'efficacité et de temps,      
- problèmes de matériel, notamment ergonomiques (clavier, écrans plus utilisés, hauteur bureau, fauteuil, repose pied...),       
- manque d'endroit pour se réunir, etc.        
Ce sont les problèmes récurrents non pas de salariés « non-pratiquants » du flex-office, mais de vos salariés qui sont dans le test. Nous sommes très loin du chiffre que vous aviez indiqué de 84% des « pratiquants » satisfaits de leur nouvel environnement de travail en flex-office !
Et il ne faut pas confondre acceptation et résignation, ce n’est pas le même état d’esprit.
Dans le cadre du flex-office, les équipes réclament de pouvoir s’organiser en toute autonomie, non pas qu’on leur impose une manière de faire qui ne convient pas. 
Ce projet de flex-office a été mal mené. Il conviendrait de le reprendre sur la base des recommandations du cabinet MLC Ergo, et de le piloter comme il se doit.
Et nous n’envisageons la mise en place d’un tel système que dans le cadre d’une négociation d’un accord d’entreprise.
En l'état, la CFDT porte un avis défavorable au déploiement du flex-office tel qu'il est envisagé.
 
 

Projet de fermeture de Meyzieu et impact sur l’emploi 

Avis CFDT rendu au CSE : Dans la mesure où les conditions de reclassement et d'accompagnement ne sont que sur "hypothèse et souhait que ça se fasse correctement et de la meilleure manière qu'il soit pour chaque salarié", et actuellement sans suffisamment de visibilité sur les conditions, la CFDT émet un avis défavorable. 
 

Cadrage RVE

CFDT : Une note de cadrage est habituellement communiquée, où rappel du contexte et du mode de réalisation. Qu'en est-il pour la RVE 2023 ? Par défaut est-on bien toujours sur une définition des enjeux pour fin février au plus tard, plus une estimation de la réalisation individuelle 12 mois plus tard ?

DRH : La note de cadrage a été descendue par la file managériale en commençant par la DG, sinon tout l'encadrement y a accès via la box. La note de cadrage prévoit bien que les objectifs doivent être fixés avant fin février et sont à réaliser sur l'année 2023. 

Pointage pause pour don du sang

CFDT : Il a été demandé à des employés de pointer une pause pour le don du sang alors que ça n'était pas le cas les fois précédentes. Pourquoi ce changement qui risque d'impacter la contribution des salariés à ce don ?

DRH : Pour favoriser le don du sang, l'entreprise a choisi d'organiser une journée tous les 3 mois de don du sang sur son site de la Centrale. Pour cela, elle met à disposition du Don du sang un local et fait une communication interne sur le sujet pour informer les collaborateurs. Le temps passé pour donner son sang, pour les collaborateurs volontaires n'est pas du temps presté pour l'entreprise. C'est donc du temps de pause. Si besoin, il est possible d'organiser le créneau d'absence avec le manager pour permettre d'aménager les horaires de travail avec une coupure. 

CFDT : Pourquoi ce changement ? 

DRH : Il n'y a pas eu de changement. De notre point de vue, cela a toujours été du temps de pause. Peut-être que certains managers laissaient une latitude sur le temps de travail. Il y a peut-être eu un changement de manager. Le nouveau aurait alors appliqué la bonne règle. Mais il n'y a pas eu de changement de consigne ni d'évolution de la règle. 

GDI

CFDT : Les règles de versement GDI pour les fins de cycle >=31/03/2023, apparaissent inéquitables par rapport aux autres cycles. Les salariés concernés ne reçoivent pas le versement de la prime 2022 contrairement aux autres salariés (qui bénéficient de la prime plus l'indemnité compensatrice) pour seulement quelques jours d'écart pour certains. Pourquoi avoir organisé des règles aussi compliquées et entrainant des inégalités de traitement entre les salariés ? Pourquoi ne pas avoir clôturé les cycles entamés pour tout le monde ? Pourquoi n'y a-t-il pas eu une proratisation des mois écoulés ? Pouvez-vous indiquer le nombre de salariés selon les différents cas ? Y a-t-il des cas qui ne sont pas prévus dans votre document ?

DRH : Il faut rappeler que les règles permettant de mettre fin à la GDI ont été négociées avec les partenaires sociaux et ont fait l'objet d'un accord majoritaire. Il est important de noter également que personne n'est perdant car, en tout état de cause, avec le système d'indemnité, personne ne perd d'argent, mais certains en gagnent. Imaginons un collaborateur avec un enjeu GDI à 1200€ et qui a toujours eu 100 % d'atteinte :
1) si sa fin de cycle est au 31/03/2023 en fonctionnement GDI classique, en 2023 il aurait touché 600€ plus 600€ 6 mois plus tard donc 1200€, là il va avoir 12 X 100€ donc 1200€ il n'a rien perdu
2) si sa fin de cycle est au 28/02/2023 en classique 600 + 600 soit 1200€, là il va avoir 600 + 600 + 10 X 100 donc 2200€, effectivement il gagne.
La difficulté c'est que les cycles démarrent tout au long de l'année. On a annoncé la fin de la GDI durant le mois de février et avec une date d'effet 31/12/2022 ; les cycles prenant fin entre décembre et février ne pouvaient être "balayés" et sont dus. 

CFDT : Il y a donc des inégalités inhérentes à ce mode de fonctionnement. Cela créé des tensions. 

DRH : J’entends. Certains sont effectivement gagnants, mais personne n'est perdant. 

Commentaire CFDT : Ces règles appliquées par la DRH n’ont pas été négociées avec les partenaires sociaux. Elles ne sont pas dans l’accord mais ont été fixées dans un document RH ultérieur.
Par ailleurs, nous n’avons pas eu les réponses sur le nombre de salariés selon les différents cas, et s’il y a d’autres cas non prévus dans leur document…

CFDT : Des salariés préalablement en échelon C ou D avaient changé de niveau de classification l'an dernier et étaient passés sur un échelon A. Comment avait été traitée la perte de la GDI à ce moment-là ?

DRH : Lors d'un changement de fonction dans un niveau de fonction immédiatement supérieur, la rémunération "B" est immédiatement applicable pur l'accès à une fonction de niveau 2 ou 3. La rémunération "A" reste applicable pendant la période d'accueil, éventuellement réduite pour l'accès à une fonction de niveau 4, ou pour l'accès à une fonction de niveau non immédiatement supérieur (ex : changement d'une fonction de niveau 1 à une fonction de niveau 3 ou d'une fonction de niveau 2 à une fonction de niveau 4). Le collaborateur concerné par un passage en échelon A bénéficiait alors et pendant 1 an, d'une prime compensatoire équivalente à 'ancienne prime versée. Ceci ayant pour but de l'accompagner durant une période nécessaire à la réouverture de ses droits.
 

Surcharge en compta

CFDT : Le CSP compta fournisseur est en surcharge de travail (il y a même eu des malaises). Malgré votre projet de renfort, que prévoyez-vous ?

DRH : Nous sommes toujours dans un contexte de hausse et baisse tarifaire, notamment avec la réouverture des négociations, ce qui impacte le quotidien des auxiliaires comptables (les tarifs changent, ce qui peut créer des désaccords entre Auchan et les fournisseurs et cela nécessite des traitements manuels qu'il n'y a pas habituellement). Le projet Docapost a été lancé en avril et se met en place (3 périmètres sur les 4 ont été déployés (un 4e est en cours)). Il vise à confier les factures de livraison directe auprès du prestataire et à renforcer les périmètres logistiques via la réallocation des intérimaires sur ce périmètre. En l'occurrence 2 intérimaires sont venus en renfort sur le périmètre de la collaboratrice ayant fait des malaises, dont la cause n'est pas si clairement identifiée. Le projet Docapost et la réallocation des intérimaires étant récents, nous souhaitons voir si l'organisation mise en place est efficace avant d'envisager d'autres mesures.

Tickets restaurant

CFDT : Des salariés éligibles aux tickets restaurant et ayant fait leur demande en mars (malgré un problème technique au départ) n'ont toujours rien eu. Quel est le problème ? Bénéficieront-ils du rétroactif ?

DRH : Les collaborateurs qui ont adhéré en mars bénéficieront bien de leur TR à partir de leur date d'adhésion. Cependant, il faut noter que de nombreuses cartes TR sont renvoyés par la poste au prestataire par défaut d'adresse valide. Nous vous invitons à demander aux collaborateurs concernés de vérifier leur adresse dans HR4YOU et de la mettre à jour le cas échéant.
 

Gel de projets 

CFDT : Les projets se gèlent. Or, si nous faisons des projets, c’est parce qu’il y a un besoin. Par rapport à ce que nous aurions pu gagner par rapport à ces projets, qui auraient dû s’amorcer et ne se font pas, avons-nous une vision à plus long terme ? Le budget doit être tenu et l’année prochaine sera peut-être pire.  

DRH : A date, nous n’avons pas cette vision. Les arbitrages sont en train de se faire. Nous avons un engagement à tenir, à savoir l’EBITDA, qui n’est pas négociable. Dans les priorités d'arbitrage, il y a la création de valeur. Il va falloir regarder les projets qui vont apporter le plus de valeur le plus rapidement. Cela va être un mélange entre l’arbitrage, ce que ça rapporte et dans quel délai.

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos délégués CFDT au CSE :
Hugues   Anne-Sophie  Thierry  Fabien
  Hugues     Anne-Sophie   Thierry      Fabien

21/12/2020

Sandrine, 49 ans, 25 ans d’Auchan, licenciée abusivement pour insuffisance professionnelle après une « promotion » !

Harcelement.jpg

Les choses se sont enchainées de façon rapide et pour le moins effarantes.

Le 26 février 2019, son responsable écrivait dans l’entretien annuel : Il a fallu faire preuve d'adaptabilité pour continuer sur la dynamique forte qu'était la bascule des supermarchés (…) Sandrine a su faire face dans l'ensemble à  ces évolutions. (…) Sandrine a su se montrer volontaire pour faire face au pic d'activité. (…) Sandrine a la grande qualité de persévérer afin d'atteindre la satisfaction de ses interlocuteurs. Cela génère habituellement une grande satisfaction côté client, au sens large. (…) Sandrine sait instaurer une bonne dynamique avec la préoccupation de bien faire. Il faut garder cette qualité qui est importante à  bien des égards. (…) Sur le poste occupé en matériel, Sandrine a su être à la hauteur de ce qui était attendu. (…) C'est une des grandes forces de Sandrine d'avoir cette préoccupation de satisfaire ces interlocuteurs. (…) Sandrine sait se positionner en effet en mode écoute et apprentissage. Humble, c'est une qualité chez elle. Etc.

Elle venait de passer agent de maitrise, on lui avait confié une nouvelle mission.  Quatre mois après, on lui mettait un PPA (plan personnelle d’amélioration) au motif qu’elle ne tiendrait pas sa fonction. Après quatre mois de PPA, elle fait un burn-out. Le médecin du travail déclare qu’elle doit impérativement se soigner. Elle sera en arrêt de travail pendant 10 mois.
Elle reprend en octobre de cette année, remotivée. En novembre elle est convoquée à un entretien préalable en vue d’un licenciement. Et en décembre elle est licenciée.

Le piège de sa promotion s’est refermé sur elle.

Le PPA ne l’a pas aidé, au contraire, débordée, en surcharge de travail, mal en point à chaque fin d’entretien hebdo, il l’a affaiblie, lui a fait perdre confiance en elle, a eu pour effet de dégrader ses conditions de travail et d’altérer sa santé psychique au point de faire un burn-out et de compromettre son avenir professionnel.

De son côté, Auchan, impitoyable, fait semblant d’ignorer le lien entre son arrêt maladie et le travail, alors qu’il a été destinataire de l’avis d’arrêt indiquant « burn out » établi par le médecin après scanner de la tête et autres radios, et ayant encore comme séquelle des spasmes de l’œil.

Sandrine a déclaré : « Je n’ai pas été bonne, j’ai été nulle… Je n’aurais pas dû accepter cette mission. Cette mission m’a affaiblie. J’avais vu la difficulté mais pas à ce point. J’ai perdu pied et le PPA n’a pas aidé, au contraire il m’a affaibli encore plus. La maintenance est un domaine qui ne s’improvise pas. Plusieurs personnes avaient déjà quitté parce que c’était trop dur. J’ai manqué de formation. J’ai travaillé 23 ans dans l’entreprise en réalisant mes missions parfaitement, mais là j’ai perdu pied. Quelqu’un de Lille m’a appris à remplir les tableaux, mais la mission était d’une autre dimension, je n’ai pas réussi malgré toute ma bonne volonté. Mais après mon arrêt maladie je suis revenue motivée. Je me suis toujours investie à fond pour cette entreprise. Les tableaux prenaient un temps fou, des choses m’ont été confiées en dehors de ma mission, puis des ajouts de régions qui ont augmenté le travail. Je devais travailler avec quelqu’un de très tatillon qui me rajoutait du travail. La formation sur les tableaux que j’avais eue, je savais déjà le faire, ce n’était pas très compliqué. Le reste était plus compliqué. Tout n’était pas bienveillant pour que je réussisse, et je ne suis pas parano. C’était vraiment douloureux pour moi. Je n’avais jamais vécu ça en 24 ans et pourtant j’ai connu des moments difficiles. Et là le coup de grâce avec ce courrier de licenciement… J’essaie de faire face mais c’est difficile… »

Auchan n’a pas respecté ses obligations légales sur la protection physique et mentale de cette salariée. Au contraire, il a provoqué sa maladie. 

Auchan n’a pas respecté ses obligations légales en matière de formation : il doit assurer l'adaptation de ses salariés à leur poste de travail et veiller au maintien de leur capacité à occuper leur emploi. Ça n’a pas été le cas. Son plan de formation individuel et son PPA ne contenait aucune formation permettant à Sandrine de bien entrer dans ses nouvelles fonctions.
Ils lui reprochent de ne pas savoir bien gérer son temps, mais ne l’ont jamais inscrite à la formation pourtant existante… Ni son responsable, ni son DRH n’ont su répondre pourquoi.

Curieusement elle était agent de maitrise mais sur un forfait horaire d’employé. Pas très adapté pour l’autonomie et la gestion du temps…

Au final, on lui a même reproché de ne pas avoir contacté Alixio pendant son arrêt maladie, en pleine séquelles du burn-out, alors qu’elle n’était évidemment pas en état !

Elle ne souhaitait de toute façon pas entrer dans le PDV (plan de départs volontaires). Alors Auchan a utilisé une autre méthode…

Lors de l’entretien préalable, ce qui intéressait Auchan, c’était de savoir « comment elle se projetait ». Ca revenait en boucle…

Elle n’a pas donné la bonne réponse. Auchan espérait qu’elle se projette à l’extérieur, mais elle a répondu « dans l’entreprise ». Alors Auchan l’a jetée dehors !

Est-ce qu’on lui a proposé d’aller voir la bourse à l’emploi interne ? Non
De voir avec elle pour un repositionnement ? Non
Un bilan de compétence ? Non

Pourtant Sandrine a aussi la RQTH (reconnaisse de la qualité de travailleur handicapé) depuis une opération de hernie discale en 2002.
Les travailleurs handicapés
peuvent bénéficier des aides du programme handicap pour faire un bilan de compétences par exemple "pour étudier les possibilités d'une nouvelle orientation professionnelle". D’ailleurs sur l’entretien annuel elle avait coché la case indiquant son souhait de faire un bilan de compétence. Mais ça non plus Auchan ne l’a pas respecté.

C’est Auchan qui l’a mise sur ce poste, c’est Auchan qui ne lui a pas donné les formations nécessaires pour s’adapter à son poste de travail, c’est Auchan qui l’a surchargée de travail et a utilisé le PPA comme outil de dévalorisation, c’est Auchan qui est responsable de son burn-out, mais c’est à Sandrine qu’on a fait porter la faute et à qui on a fait payer la note.

Evidement elle gagnera devant les tribunaux. Mais elle aura quand même perdu son emploi. Ça va être difficile pour elle d’en retrouver un autre, à son âge, vu la situation économique, et l’état de dévalorisation dans lequel Auchan l’a plongée.

Auchan provisionnera cyniquement les quelques milliers d’euros que ça lui coutera, en piochant dans les millions que reçoit l’entreprise au titre du Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi offert généreusement par l’Etat (donc au frais du contribuable).

Mais quel grand écart entre les beaux discours humaniste et social de l’entreprise et le traitement froid et implacable du cas de Sandrine.

Sandrine écrivait en février 2019 en conclusion de son entretien annuel avant de démarrer cette nouvelle mission qui lui a couté son emploi, 4 mois avant son PPA : « Je conclurai par le fait que je me sens de mieux en mieux dans mon entreprise (…). En espérant continuer longtemps l'aventure car ma motivation ne m'a jamais quittée jusqu'à présent, ça fait aujourd'hui 24 ans. En avant... ».

Le comportement de l’entreprise vis-à-vis de Sandrine est indigne et inadmissible.

Nous demandons l’annulation de ce licenciement et la réintégration de Sandrine.

24/05/2017

Rapport de la médecine du travail sur l'Organisation Internationale des Achats Auchan

sante-au-travail.jpgLes enquêtes Everest ont mis en évidence que :
- 44% des salariés ressentent de la fatigue
- 36% de la nervosité
- 29% des troubles du sommeil

Concernant le vécu au travail :
- 47% traitent trop vite les tâches
- 66% dépassent des horaires normaux
- 68% zappent d'une tâche à l'autre sans pouvoir la terminer
- 49% ont indiqué une pression temporelle > 5

Les constats de cette année confirment les constats de l'année précédente voire s'aggravent pour certains indicateurs. C'est l'ensemble de la DPC qui est en tension.
Le médecin a clairement alerté la direction sur l'état de santé des salariés au sein de l'OIA. 

Commentaire CFDT :
La situation est loin d'être idyllique. Les constats de la médecine du travail sont alarmants !
Les travaux de transformation s’enchaînent, depuis plusieurs années, l'OIA a plus que doublé ses effectifs en 2 ans. Il semble que les moyens manquent pour que la qualité de travail soit au rendez vous. Les salariés ne sont pas écoutés, et les objectifs chiffrés priment sur la qualité du travail.
Il convient de mettre en œuvre des plans d'actions pour remettre de la sérénité dans les collectifs de travail et faire de la qualité de travail une priorité, et cela avant le respect des taux d'intervention.

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos représentants CFDT : 

Christophe      
Christophe    Alice

Tel : 06 09 09 10 29

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11/03/2015

Résultats de l’enquête CFDT sur la charge de travail à Auchan Centrale et DOAPI

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546 salariés 
ont répondu.

 MERCI !

 35 % employés 
20 % 
agents de maîtrise
45 % cadres

 

Nous vous présentons les résultats à télécharger

 
Si vous souhaitez plus de détails, en discuter, faire des propositions, n’hésitez pas à nous contacter :

 

06 22 14 02 01
06 09 09 10 29

cfdt.auchan.centrale@free.fr

 

Vous écouter pour vous associer à la construction de nouvelles revendications collectives, c’est le choix de la CFDT.

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14/01/2015

Appel des médecins du travail pour la reconnaissance du burn-out

corde.jpg« Entre le constat d’une dépression et le constat d’un épuisement professionnel il y a un monde! Le burn-out n’est pas lié à un tempérament prédisposé, c’est le résultat d’une certaine organisation du travail. » Tel est le constat de Jean-Frédéric Poisson, député UMP des Yvelines et ancien DRH de l’industrie.

Pourtant ce fléau est encore loin d'être reconnu comme il se doit !

La reconnaissance comme maladie professionnelle serait autant une mesure de justice à l’égard des salariés touchés, qu’une aide indispensable à leur prise en charge curative, à leur suivi professionnel et à la prévention du burn-out dans leur entreprise.

Pour la CFDT il est aussi urgent de repérer, en amont, les organisations du travail susceptibles d’engendrer des situations de burn-out et de pouvoir débattre de l’organisation du travail.

La CFDT soutient l’appel des médecins du travail pour faire reconnaitre le burn-out comme maladie professionnelle.

Signez et faites signer :
www.appelmedecins-burnout.fr

cfdt.auchan.centrale@free.fr

06 22 14 02 01

06 09 09 10 29 

26/08/2014

Consultation du CHSCT Auchan Centrale sur le bilan du plan de prévention 2013

262732296.jpgLa CFDT rend un avis défavorable.

La prévention des risques psychosociaux est négligée :

- Travailler à partir du BOI (baromètre d’opinion interne) est une bonne démarche, mais est trop focaliser sur l'environnement du travail et pas suffisamment sur le contenu du travail.

- Il y a peu de transparence sur les résultats du BOI, les résultats présentés en CHSCT sont trop globaux.

- Le traitement des dossiers se fait uniquement sur alerte. 

- Il n'y a aucune prise en compte, de suivi et de partage avec le CHSCT des mises en œuvre des nouvelles organisations comme communautés de marchés, maillage...

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos représentants au CHSCT :
 

Saida.jpgchristophe.jpg   

 

 

  Saïda      Christophe

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11/06/2014

Questions CFDT au CHSCT Auchan Centrale du 25/03/14

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Document Unique d’Evaluation des Risques :

CFDT : Lors du CHSCT de décembre dernier, nous avons compris que la consultation du DUER reste basée sur une mise à disposition du DUER sur demande auprès de son manager ou d’Isabelle Ouvrard.
Pourquoi en limiter l'accès, quel sens donnez-vous à cette décision ?
Comme le projet du nouveau DUER prévoit une consultation par internet, pourquoi ne pas l'ouvrir à chaque salarié ?

DRH : La loi requiert uniquement de mettre à disposition le Document Unique aux membres du CHSCT et sur demandes en consultation aux collaborateurs.
Comme indiqué par Q BRIAND lors du CHSCT du 3 décembre 2013, le support « DUER » sera accessible par internet avec un identifiant et un code d’accès spécifique en lecture par périmètre pour les membres désignés du CHSCT et ce en temps réel.
Pour les collaborateurs, non membres CHSCT, l’accès se fera comme actuellement avec le support « préval’risq », sur demande de consultation auprès du manager du site (site en région) ou auprès d’Isabelle OUVRARD pour la centrale.
 

CFDT : L’information des salariés sur les modalités de consultation de Preval’Risques, l’actuel outil matérialisant le Dossier Unique d’Evaluation des Risques, ne semble pas être effectuée. Merci d'y remédier.

DRH : Nous avons en son temps, en décembre 2012,  transmis une note d’information à destination de tous les collaborateurs, à positionner sur les panneaux d’information, que la consultation de préval’risq était possible sur site. Cette dernière indiquait : « CONSULTATION DU DOCUMENT UNIQUE SUR SITE  - Nous vous informons que le document unique d’évaluation des risques est consultable sur simple demande auprès de votre responsable de site ou auprès d’Isabelle OUVRARD, service DRHSC, pour la centrale d’achats.  Pour permettre une optimisation de la consultation, nous vous conseillons de prendre rendez-vous avec le responsable sur votre site (région ou centrale) ».
Nous allons repasser l’information aux managers concernés concernant le DUER et refaire l’affichage de cette information sur les panneaux d’affichage de la centrale.

 

Commentaire CFDT : extrait de l’article R4121-4 : « … Un avis indiquant les modalités d'accès des travailleurs au document unique est affiché à une place convenable et aisément accessible dans les lieux de travail. Dans les entreprises ou établissements dotés d'un règlement intérieur, cet avis est affiché au même emplacement que celui réservé au règlement intérieur. ».

N’hésitez pas à demander la consultation de ce document clef de votre santé au travail.

Baromètre d’Opinion Interne 2012

CFDT : Le BOI en 2012 faisait état de relations conflictuelles. Lors du dernier CHSCT vous nous avez répondu qu'il n'y avait pas de conflit entre les acheteurs et les managers de catégories. Dont acte, mais où donc se situaient ces tensions ? Qu’est ce qui a été fait pour les réduire ?

 

DRH : Concernant le BOI de 2012,  la question sur les relations conflictuelles au travail donnait pour le périmètre total Services Centraux des taux quasiment identiques entre 2010 et 2012 et dans les mêmes proportions que ceux d’Auchan France. Lors de la séparation «offre / achat », il y a pu avoir des incompréhensions et/ou des tensions.

Plus globalement, les services ont travaillé dans leur périmètre respectifs, et pas spécialement sur cette question. Ce fut le cas par exemple, à Auchan Production, le CSP compta, en Vente équipement, en maisons et loisirs, … avec la mise en place de groupes de travail … Leurs travaux et projets vous ont été présentés en CHSCT en  décembre 2013.

 

Commentaire CFDT : En 2012, le BOI faisait état de :
 - 27% de personnes subissant des relations conflictuelles avec des collègues.
 - 18 % de personnes subissant des situations conflictuelles avec les clients.
 - 15% de personnes subissant des remarques désobligeantes régulières dans le travail
 - 14% de personnes subissant des remarques devant les collègues

Vous subissez encore ces désagréments ? Contactez-nous.

 

Fonctionnement du CHSCT:
CFDT : Certains sites dépendant de notre CHSCT ont déménagé, pouvez-vous nous communiquer la liste à jour des sites distants dépendant de notre CHSCT, leur adresse, le nombre de salariés et le nom du relai CHSCT lorsqu'il y en a un ?

DRH : Nous prenons acte de votre question, nous sommes en train de regarder et de récupérer les données pour vous donner les éléments requis. Ce sera chose faite lors d’une prochaine réunion du CHSCT.

Commentaire CFDT : Wait and See…

CFDT : La liste des élus CHSCT sur les panneaux n'est pas à jour, merci d'y remédier ?

DRH : Avec les déménagements, nous allons refaire un affichage des membres sur les panneaux dans le cas où l’information manquerait. Cela sera également retransmis aux sites en région pour affichage.

Commentaire CFDT : Wait and See…

CFDT : Pouvez-vous nous rappeler la mission du relai CHSCT ?

DRH : Pour les sites ayant des DP, cette instance prend le relai. Pour les sites n’en n’ayant pas, le CHSCT reste le relai.

Commentaire CFDT : Cela ne répond pas à la question…

Concernant les réorganisations :
CFDT : Il semble qu'une partie de l'organisation va être attachée à la DSI. Pourriez-vous nous en présenter les tenants et les aboutissants de ce changement, et plus particulièrement :
 - la mission de cette équipe au sein de la DSI,
 - les moyens qui seront mis en œuvre pour intégrer cette équipe dans la DSI
 - quels transformations dans les méthodes de travail la DSI devront-elles faire pour s'accorder avec l'équipe Orga et inversement ?

DRH : Les 9 collaborateurs qui travaillaient sur la conception métier, sur des projets à fortes connotations SI (cross-canal et Mosaïc) rejoignent les équipes DSI, tout en gardant leurs spécificités et leurs missions. Ils continueront à :
 - Contribuer à la simplification de l’entreprise en améliorant le fonctionnement entre les utilisateurs et la DSI
 - Améliorer l’opérationnalité des projets, en lien fort avec le métier
 - Apporter une nouvelle dimension à l’activité de la DSI,  au plus près des métiers
 - Avec comme Enjeu : une meilleure communication avec la DSI et permet à la DSI d’être encore plus en prise directe avec le métier.

CFDT : La modification de l’équipe de direction sous Vincent Mignot, impactera-t-elle les organisations en place ou les manières de travailler ?

DRH : Non. C’est unique une modification de rattachement hiérarchique.

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos représentants au CHSCT :

Saida.jpgchristophe.jpg   

 

 

  Saïda      Christophe

07/04/2014

PACTE Auchan : la CFDT obtient la mise en place d'une coordination nationale des CHSCT

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Nous avons constaté que les précédents plans de transformation n'ont jamais fait l'objet d'une expertise sur les impacts sur les conditions de travail et la santé.

 

Cette instance est montée principalement pour étudier les impacts du projet PACTE au niveau national. Les membres auront le pouvoir d'effectuer une expertise sur les risques psychosociaux et les conditions de travail.


Cette expertise permettrait d'avoir une vue globale des impacts en fonction des tailles des sites (très différentes), des données sociologiques, et permettrai d'influer sur les modalités de mise en œuvre du projet.

Nous assurons pour les CHSCT locaux, qu'aucune de leur prérogative ne leur sera retirée. Ils seront consultés localement pour donner leur avis sur l'application de ce projet sur leur établissement et pourront monter leur propre commission de suivi.

Ils pourront également missionner une expertise mais en prenant un angle différent ou en se basant sur des effets particuliers qu’ils auront constaté localement.

Deux grandes premières (inhabituelles pour les instances CHSCT) : nous avons obtenu qu'il y ait des suppléants et que le RS ait des heures de délégation.


Conseil : Adhérer et solliciter vos élus CFDT dans les instances CE et CHSCT…

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Pour plus d'infos, nous contacter : 

 

cfdt.auchan.cadres@free.fr

06 22 14 02 01

06 09 09 10 29 

19/11/2013

Questions CFDT au CHSCT Auchan Centrale du 17/09/13

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CFDT : En 2008 nous avions posé une question en CHSCT à propos des Risques Psycho Sociaux et du Document Unique d’Evaluation des Risques. Vous avez répondu : « Un plan de prévention des risques a été revisité en 2008. La démarche se poursuivra en 2009. Chaque service est étudié et le plan de prévention mis à jour à l’issue de cette étude.
La fiche « Ambiance de travail » du document unique sera, dans le cadre de la prévention des risques, revue au niveau national et intégrera notamment le facteur stress ».
Cinq après, en relisant cela et en constatant toujours l'absence d'évaluation des RPS dans le DUER, est-ce que vous trouvez que ça avance bien ?

DRH : Oui cela avance bien. Depuis 2008, les choses ont évolué. Dans Preval’risq les RPS étaient intégrées dans le risque « environnement de travail ». Le nouvel outil DUER, parce que nous savons que cela n’est pas suffisant, intégrera les RPS comme risque à part entière.
De ce fait depuis 2008, des actions de préventions ont été mises en place comme l’ergonomie travail écran (2010-2013) et le salon Atout cœur en 2013.
En 2010, le BOI a intégré des questions posées par rapport aux facteurs générateurs de stress. Les bilans du BOI 2010 et 2012 ont été transmis aux sites et aux grands services pour action.
Le bilan des questions relatives au « bien-être au travail » issu du BOI de 2010 a été présenté au CHSCT du 2 septembre 2011.
Sur les services centraux notamment, mise en place de la sensibilisation « gestion du bien-être au travail » à destination de l’encadrement sur 2012 avec 80% des collaborateurs l’ont suivi (2770 heures). A noter la formation « le stress n’en garder que le meilleur » est disponible, en offre élargie, à destination de tous les collaborateurs.
Une présentation de la politique d’Auchan relative au « bien-être au travail » a été faite au CHSCT du 2 décembre 2012.
Un zoom spécifique relatif aux conditions de travail qui est un élément générateur de RPS a été présenté en CHSCT en décembre 2012. L’analyse, le suivi et les plans d’actions sont faits par les managers.
Cependant quand une situation d’urgence apparait ou est évoquée, nous prenons immédiatement les mesures et actions nécessaires, comme nous avons déjà pu le faire dans le passé, en partenariats et conjointement avec le CHSCT, la médecine du travail et les équipes, avec la mise en place de groupes de travail et d’actions concrètes à plus ou moins long terme.
Dans le cadre des déménagements réalisés sur 2013, nous avons intégré les remarques formulées dans le BOI sur les conditions de travail et présentées au CHSCT en décembre 2012.
De ce fait 27000 m² de moquettes seront changées en Centrale, les contraintes du bâtiment ont été prises en compte pour permettre une amélioration de l’environnement de travail (exemple avec APF) avec la constitution d’un groupe de travail dédié qui ce aboutit à des bureaux plus lumineux, moins bruyant et plus de m² par personne.
Les Services Généraux ont profité de ces déménagements pour réorganiser l’implantation des équipes et améliorer le confort, l’environnement de travail, aménager les pôles de bureaux (comme en Vente d’Equipement) et ainsi réduire les irritants présentés dans le BOI.
Pour cela depuis mai dernier, 80 réunions de préparation, d’échange et de réflexion avec les équipes, les assistantes et/ou les managers ont été faites. Cela a permis un accompagnement et un déploiement auprès des équipes lors de l’effectivité des déménagements pour un ajustement entre le projet sur plan et la vision effective dans l’espace de travail.
Lors du CHSCT de décembre 2013, la présentation du nouvel outil DUER sera faite.

Commentaire CFDT : Beaucoup de poudre aux yeux dans cette réponse. Reste que 5 ans après,  l’obligation d’évaluer les risques psycho-sociaux n’est toujours pas respectée. Il n’y a strictement rien à ce propos dans le DUER !
Si la présentation du résultat du BOI a été réalisée en 2011, c’est uniquement suite à une question de la CFDT. Sans cela, aucune information n’aurait été faite auprès du CHSCT.
Nous nous étonnons que la notion de stress positif transparaisse encore dans les intitulés des formations Auchan, alors que la notion même de stress positif a été supprimée du texte de l’Accord National Interprofessionnel de 2008.

CFDT : Lors d'une réunion fin août au CSP compta fournisseurs, plusieurs salariés se sont plaints des rôles que s'attribuent encore abusivement les coordinateurs(trices). Le contenu de fonction dont vous nous avez fait la présentation lors du CHSCT du 26 mars 2013 ne semble pas être bien connu ou respecté. Pouvez-vous faire un rappel ?

DRH : En juillet 2013, la Direction Comptable a démarré des réunions de travail avec des collaborateurs volontaires sur les conditions de travail au CSP Fournisseur. C’est un axe important étant donné le nombre de personnes intégrées et la configuration en open space.
Ces réunions se poursuivent et effectivement lors des dernières réunions, le rôle des coordinatrices a été abordé par des collaborateurs. La responsable a pris note de ces retours et y travaille.
Elle a déjà prévu une réunion de travail avec les coordinatrices le 17 septembre pour avancer sur le sujet. Lors de ses réunions, elle a rappelé aussi qu’il était important que les collaborateurs qui constateraient des écarts par rapport à ce que l’on avait défini et rappelé en mars à chaque collaboratrice, puisse en faire part à leur manager afin de d’aider à ce que les coordinatrices restent centrées sur l’accompagnement métier, le management étant de la responsabilité du manager.

Commentaire CFDT : Nous demandons la rédaction de la fiche mission des coordinateurs et que les rôles soient clarifiés.

CFDT : Lors du CHSCT du 06 décembre 2012, vous proposiez que chaque RRH présente les thèmes majeurs en travaux suite au BOI. Avez-vous planifié cette présentation cette année ?

DRH : Effectivement, les conditions de travail ont été ciblées par les RRH sur leur périmètre respectif. Lors du prochain CHSCT, une présentation des actions mises en place ou en cours de constitution sera faite par chaque RRH, sur un périmètre choisi,
-          Bilan des travaux menés sur Auchan Production France par Anne Sophie Agache
-          Direction comptable et retour des groupes de travail par Claire Roussie
-          Actions mises en place en Maisons et Loisirs par Olivier Dumas

CFDT : Concernant le respect de la réglementation R232-2-5 du code du travail traitant de l’hygiène et des sanitaires dans le cadre de leur usage dans le bâtiment informatique : en analysant vos différentes réponses, nous constatons qu’à ce jour la population masculine dépasse de 50 le seuil prévu par cette réglementation et ce dépassement doublerait si votre projet de réagencement des équipes est approuvé. Que comptez-vous faire ?

DRH : Sur le bâtiment la réglementation est respectée. Le nombre de toilettes / urinoirs est suffisants.

Commentaire CFDT : Cela est inexact, mais la direction préfère nier la réalité, c’est plus économique. 

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos représentants au CHSCT :

Saida.jpgchristophe.jpg   


 

  Saïda      Christophe

19:53 Publié dans CHSCT - C2SCT | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : risques psychosociaux, duer, management, conditions de travail, hygiene | |  Facebook | | | |