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05/04/2023

Mise en place du Flex-office Auchan Centrale : Il y aura une expertise

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15/12/2022

Questions CFDT au CSE Auchan ARS/ARA du 24/11/2022

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Télétravail 

CFDT : À combien estimez-vous la moyenne de télétravail ?  

DRH : Nous ne l’estimons pas, c’est bien le problème. À chaque contrôle, nous constatons des anomalies dans itempo. Nous sommes en train de faire le travail avec les RRH. En faisant les contrôles de manière basique, de telle à telle date, en partant du principe qu’il y a trois semaines de CP et X jours de télétravail, nous calculons la moyenne, puis nous regardons si la personne a signé une charte, s’il y a deux jours de télétravail par semaine, si elle en a déclaré plus ou non, s’il y a surconsommation. Nous repointons toutes ces anomalies visibles, ce qui permet de réexpliquer le cadre de l’accord. Nous allons d’abord repasser par les RRH et les managers pour réexpliquer l’accord. Après, s’il faut repointer individu par individu, nous le ferons, mais cela représente beaucoup de travail. Nous avons remarqué que des personnes déclaraient deux jours et en prenait un troisième. Des personnes déclarent du travail hors site et non du télétravail. Mais c’est difficile de donner des chiffres.  

CFDT : Le fait que quelqu’un ait trois jours de télétravail n’est pas une anomalie.  

DRH : En effet, il n’y a pas de problème dans la limite du quota des 100 jours. C’est une anomalie quand il y a deux jours déclarés dans itempo et que le troisième jour n’est pas déclaré. 

CFDT : Aucun salarié n’est revenu sur sa volonté de pratiquer le télétravail ? Il n’y a pas de télétravail imposé ?  

DRH : Si des collaborateurs se rendent compte que le télétravail ne leur convient pas, ils arrêtent de pointer en télétravail, mais il n’y a pas d’acte de réversibilité ou du moins nous n’en sommes pas informés. Nous ne sommes pas censés imposer du télétravail. C’est une demande du salarié.  

CFDT : Dans l’accord télétravail, des formations étaient prévues pour les managers. Un guide devait aussi être fait. Au vu des situations rapportées, le manager n’a eu aucun des deux. Il serait bien qu’il les ait. 

DRH : Le module est disponible lorsque nous faisons la demande de charte sur HR4YOU. Le manager y a donc accès. Des rappels ont été faits. Brièvement, des points de réglages restent à faire sur le test du flex-office car, typiquement, la DAI souhaite son équipe au complet tous les lundis. En flex, ce n’est pas possible, à moins d’une concertation entre les managers des différentes équipes. 

CFDT : Le flex-office a été présenté comme étant la contrepartie du télétravail. Ceux qui ne font pas de télétravail ne comprennent pas pourquoi ils devraient se soumettre au flex-office.

DRH : Nous en reparlerons, mais le flex-office fait partie des points d’amélioration que j’ai demandé. Je ne suis pas choquée qu’une personne présente 5/5 jours s’installe toujours au même bureau. D’autres estiment que ce n’est pas équitable par rapport aux autres. 

Externalisation partielle et temporaire d’une partie des activités compta clients et fournisseurs 

CFDT : Concernant la comparaison de performance, ça ne sera pas vraiment pertinent vu qu’ils traiteront des dossiers simples et nous des dossiers complexes. 

Direction : Il y a du sens à comparer, mais il faut préciser le contexte. L’objectif premier est de faire décroître le backlog.  

CFDT : Vous dites que ça sera en mode Lean. L’un des principes du mode Lean est que l’équipe s’auto-améliore. Ce n’est pas quelque chose qui est imposé par un système d’amélioration de la performance venant du haut. Si nous sommes sur un mode Lean qui met la pression aux salariés, car ce n’est pas eux qui ont la main sur l’auto amélioration et l’amélioration de la qualité, cela peut poser problème, notamment sur leur santé.

Direction : Ils sont accompagnés par des managers Lean et sont dans un service d’amélioration continue, donc ils possèdent toutes les compétences pour appliquer la méthodologie du Lean. 

CFDT : Avez-vous une idée de la durée de l’externalisation ? 

Direction : Nous nous sommes engagés avec Armatis jusqu’au 31/03. Nous pensons être en phase avec cette date. Mais cela ne fait qu’un mois, donc nous avons peu de recul.

 

Modification horaire en compta du samedi 07/01/2023 

CFDT : Si le salarié choisit la possibilité d’être payés des heures prestées, il s’agit bien d’heures supplémentaires majorées ?  

DRH : Oui. Le principe des horaires annualisés est que, normalement, on récupère, mais le collaborateur a la possibilité de demander à être payé. Dans ce cas, ce sont des heures majorées. 

CFDT : Pour que ce travail soit possible le 7 janvier, cela demande un travail d’équipe un peu plus tendu au préalable. Cela correspond peut-être à des périodes qui tombent pendant les congés.  

Direction : Il y a très peu de congés pour des personnes comptables sur une clôture annuelle, depuis toujours. C’est notre période la plus tendue. Nous leur permettons deux jours de congés. C’est le cas de toutes les sociétés dans le monde entier.  

CFDT : Avis favorable
  

Info sur le transfert activité patrimoine d’ARS-ARA vers NHOOD.

CFDT : Vous dites que les salariés qui refuseraient le transfert garderaient leurs métiers avec une mise à disposition, comment le pourront-ils vu que ceux-ci vont changer ? 

DRH : Par exemple, sur les métiers de l’asset, ils vont rester asset managers, mais c’est plutôt le SCOP du patrimoine qui le gèrerait qui serait amené à évoluer. Un asset qui gère hyper, super, etc., serait amené demain à gérer la galerie commerciale en plus. Mais nous ne modifierons pas le fond de son métier d’asset manager.
 

Consultation sur la décision unilatérale de la Direction de proroger les dispositions relatives aux astreintes issues de l’accord du 05/08/2019. 

CFDT : Nous avions un point sur lequel nous n’étions pas d’accord. Les temps d’intervention se retrouvent dans les forfaits jours au lieu d’être payés en sus. Nous avions aussi noté les jours de repos supplémentaires à partir de quinze interventions sans rien au-delà. 

DRH : Effectivement, tout cela concerne les propositions faites et communiquées dans les négociations ARF. La DUE reprend les modalités d’application initiales. 

CFDT : Pourquoi appliquer une décision unilatérale plutôt que passer par un accord spécifique ARS sachant que nous avons bien débroussaillé le sujet lors de la négociation ARF, que nous avons presque tous les éléments concernant ARS-ARA ? Nous aurions un meilleur accord que cette DUE. Nous pourrions fixer un délai jusqu’à la signature de l’accord ARF.  

DRH : Vous venez de préciser que l’accord ARF contient des avancées dont les autres périmètres ne pourraient bénéficier. Ce ne serait pas juste et pertinent de les inclure pour ARS-ARA en décalage. Il est souhaitable que l’accord ARF soit applicable pour toutes les entités simultanément. 

CFDT : Il me semble que c’était déjà le cas avec l’accord ARS précédent, donc nous étions déjà dans un système inégalitaire par rapport aux autres entités. 

DRH : L’ambition passée n’a jamais été de passer un accord ARF, les accords correspondaient à des ambitions distinctes. Ce n’est plus le cas. Depuis que nous avons ouvert le dialogue sur le thème des astreintes au mois de juin, nous cherchons à trouver un terrain commun entre les organisations syndicales et les directions. Le premier flou ne peut pas être l’occasion de se séparer du groupe, nos amis des hypers et supers ne seraient pas satisfaits.

CFDT : Avis défavorable
L'accord ARS-ARA, et donc vos mesures unilatérales, contiennent une régression par rapport à ce qui était pratiqué avant, notamment les temps d'interventions qui se retrouvent dans le forfait jours au lieu d'être payés en sus, ainsi que le jour de repos supplémentaire à partir de 15 interventions et plus rien au-delà (qu'on fasse 30 ou 45 interventions), ce qui ne satisfait pas les salariés concernés. La CFDT n'est pas favorable à des dispositions unilatérales moins-disantes pour les salariés que les points prévus dans la négociation en cours sur ARF, et nous demandons à la place un accord sur ARS-ARA dont les éléments sont déjà pratiquement bouclés en attendant que celle d'ARF aboutisse.

 

Plan de continuité si coupures électriques 

CFDT : Les datacenters ne sont pas concernés ? Pour rebondir au sujet des services de secours, nous ne sommes pas du tout assurés que les groupes électrogènes fonctionnent. 

DRH : De notre côté, nous avons une vision très claire des sites disposant d’un groupe ou non. Mais effectivement, nous ne savons pas exactement s’il va fonctionner. 

CFDT : Je fais partie des groupes de réflexion sur ce que nous devrons faire autour du DSI en cas de coupure. Il nous a été dit que tout ce qui était relié à une boucle d’hôpitaux ou de santé n’était pas concerné et que n’étaient pas concernés non plus les datacenters.  

Direction : Je doute que le datacenter de la centrale ait été identifié comme un datacenter comme ceux d’OVH, Paris ou Lyon, auprès d’EDF. Je préfère rester prudent et mettre le maximum de sécurité en place pour que nous ayons de la ressource suffisante, même si nous nous trouvons dans une boucle d’hôpital.  

CFDT : Ces coupures vont surtout peser sur les collaborateurs en forfait heures. Il est possible de se rassurer en misant sur le peu de fréquence et la courte durée de ces coupures, mais nous ne savons pas ce qui va arriver. Si les compteurs d’heures perdues devenaient trop importants, pourrions-nous imaginer un plafond au-delà duquel les salariés ne seraient plus tenus de récupérer ces heures ?  

CFDT : A date, ce n’est pas prévu parce que nous n’y sommes pas confrontés et qu’il faudrait un volume vraiment très important pour ne pas pouvoir les rattraper dans les douze mois qui suivent. En espérant que cela n’arrive pas, nous n’envisageons pas ce scénario. 

CFDT : Ce n’est qu’à l’annonce de la veille que nous aurons la géolocalisation. Donc, même avec une annonce trois jours avant, nous ne saurons pas si nous sommes concernés avant la veille au soir.  

DRH : L’alerte permet tout de même d’anticiper des modifications potentielles. Quoiqu’il en soit, l’alerte sera donnée trois jours avant et le management devra s’organiser. C’est le cadre qui décide si le collaborateur reste chez lui ou non. 

CFDT : Avis favorable avec réserves
Le Code du travail cadre bien le sujet en parlant explicitement de cas de force majeure. Or, aujourd’hui, les coupures « prévues » cet hiver ne sont pas encore considérées comme tel. C’est donc sous réserve que nous soyons bien dans la définition du cas de force majeure dans le dispositif EcoWatt, et aussi dans la limite de ne pas avoir des compteurs qui s’affolent.

Questions diverses

CFDT : Lors d'un déménagement de Colibri vers le bâtiment E, le casier d'un salarié a été vidé bien que fermé à clef avec son nom dessus. Il était en congés à ce moment-là, il n'a pas été prévenu (comme le prévoit la loi et le règlement intérieur) et ses affaires ont disparu. Cela ne pouvait-il pas attendre son retour ? Que compte faire l'entreprise concernant la disparition de ses objets personnels ?

DRH : Nous avons en effet été informés de cette situation et nous la déplorons. Le RRH de la DSI a pu faire le point sur la façon dont les choses se sont passées. Lors du déménagement des équipes de Colibri vers le bâtiment E, de nombreux casiers étaient encore pleins à la date donnée aux équipes pour le déménagement. Les casiers ne peuvent être déménagés que vides. Il faut savoir qu'en l'absence d'identification du propriétaire d'un casier ou d'impossibilité de le joindre (cas non prévus par notre règlement intérieur), Grégory ouvre les casiers en présence d'un élu et d'un assistant de direction. Cette procédure a été respectée pour l'ouverture des casiers de cette équipe. Concernant le collaborateur que vous évoquez, nous regrettons que ces affaires aient été égarées. Nous suggérons que si cette situation se renouvelle (ouverture de casier sans présence de la personne concernée si elle n'a pu être jointe), les personnes chargées d'ouvrir les casiers (Direction, élu et assistant de direction) puissent décider ensemble de l'endroit et la durée de conservation des objets du casier. Le collaborateur dont il est question sera remboursé pour les objets perdus par le biais d’une note de frais.
Le collaborateur était tout de même prévenu du déménagement. Il est dommage qu’il n’ait pas pu vider son casier avant de partir en congé.
Aujourd’hui, vu le nombre de casiers, il n’est pas certain que ce casier-là ait été ouvert lors de notre passage. Ensuite, ne croyez pas qu’il est facile d’identifier à qui sont les objets d’un casier simplement en les observant. Dès lors, cela peut représenter une énorme quantité d’affaires à conserver.
Il faudra se mettre d’accord sur le délai de conservation des objets. 

CFDT : Comptez-vous payer le dépassement du forfait jours selon l'arrêt du 6 juillet 2022 : Cass.soc. 06.07.2022, n° 20-15.656 ? 

DRH : La période de référence des forfaits en jours se termine le 31/05. Nous ferons le point à ce moment-là. Nous avons connaissance de cette jurisprudence et nous allons, encore plus dans ce cadre, nous assurer de la réalisation des forfaits jours dans de bonnes conditions. L’idée est de respecter mutuellement ce forfait pour l’équilibre de tous, ce qui inclut également le respect de la pose des jours de non travail et des CP sur la période de référence. Si des jours supplémentaires devaient être effectués au-delà du forfait, ce sera décidé de concert avec les managers et justifié par les tâches à accomplir. Il ne doit pas y avoir d’initiative personnelle au même titre que pour les heures supplémentaires des employés. Les managers devront faire un point en cours de période pour constater et échanger avec les collaborateurs de leur équipe sur l'état de leur compteur. 

CFDT : La réponse porte sur l’année en cours. Quid des années précédentes ? Quid du dépassement du forfait d’un peu plus de 30 ETP travaillant toute l’année acté en mai 2022 ? 

DRH : Chaque cas est particulier. Il faut donc regarder la situation de chaque personne sur la période du 1er juin au 31 mai pour voir ce qui s’est passé. Normalement, nous sommes censés respecter les 214, sauf exception à la demande de l’entreprise.  

CFDT : Nous l’avons tous vécu. Il est parfois difficile de poser des congés ou des RTT en raison de la charge de travail. D’ailleurs, cela s’est amélioré avec la mise en place du PERCO. Cependant, un problème demeure sur le dépassement du forfait jours. 

DRH : L’amélioration vient aussi du fait que les salariés ne peuvent pas poser des congés dans le PERCO s’ils n’ont pas posé leurs quatre 1ères semaines. L’autre effet du PERCO est que les collaborateurs se sont mis à déclarer leurs congés pris dans iTempo, un automatisme qu’ils n’avaient pas forcément avant. 

CFDT : Concernant la monétisation des RTT et votre réponse renvoyant à la négociation d'un accord, le ministère a répondu que les salariés en forfait jours ne peuvent être intégrés par accord collectif au dispositif de monétisation des RTT. Que prévoyez-vous ?

DRH : Le dispositif de monétisation des RTT, ouvert par la loi pouvoir d'achat, permet de monétiser les journées ou demi-journées de repos acquises (du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2025) en application d'un accord ou d'une convention collective instituant un dispositif de réduction du temps de travail (maintenu en vigueur après la loi du 20 août 2008) ou en application d'un dispositif de jours de repos conventionnels mis en place dans le cadre des articles L 3121-41 à L 3121-47 du Code du travail : il s'agit des dispositions encadrant l'aménagement du temps de travail sur une période supérieure à la semaine. Ces deux types d'accord peuvent prévoir des jours de repos en contrepartie d'heures de travail effectuées au-delà de 35 heures hebdomadaires. Nous n'avons pas un tel dispositif de RTT dans l'entreprise. En effet les salariés dont l'horaire est annualisé récupèrent leurs heures au-delà de la période. S'ils n'ont pas pu les récupérer avant la fin de la période, elles seront payées (et donc, dores et déjà monétisées finalement). Précisons que tout ARF n’est pas concerné par ce dispositif car nous n’avons pas d’organisation du travail répondant aux critères au sein d'ARF.
Il a fallu un moment avant que nous ayons la bonne réponse. C’est pourquoi, jusqu’à maintenant, nous répondions « accord ». La précision est arrivée ces dernières semaines. Par ailleurs, RTT est un abus de langage car ce sont des repos.

Pour toutes questions ou remarques, contacter vos délégués CFDT au CSE :
Hugues   Anne-Sophie  Thierry  Fabien
  Hugues     Anne-Sophie   Thierry      Fabien

23/04/2021

Avis CFDT sur la situation financière d'Auchan - CCSE du 21/04/2021

CFDT_CCSE.jpgL’entreprise Auchan qui a été pendant de longues années pionnière dans la mise en place de structures commerciales innovantes, grâce à des financements où la règle de préservation de résultats en interne permettait d’investir pour produire, fait face aujourd’hui à une cannibalisation financière où les actionnaires se sont octroyés durant cette dernière décennie des remontées de dividendes de façon inédite et scandaleuse, freinant ainsi tout développement sur le marché intérieur français.

Le recul que nous constatons aujourd’hui est le résultat de cette cannibalisation.

Les règles d’endettement contraintes par le groupe doivent être supprimées pour permettre aux structures commerciales de retrouver du souffle !

Le groupe ne manque pas de cash, avec la vente de la Chine.

L’investissement publicitaire reste trop faible par rapport à nos concurrents.
Les investissements pour rénover
les hypermarchés et supermarchés doivent être revus à la hausse pour faire revenir la clientèle, vu la perte de parts de marché et de CA depuis des années.

Nous déplorons une politique commerciale par le bas
du compte et la réduction des frais, ce qui a pour conséquence une industrialisation des process de travail ainsi que la perte de nombreux emplois.
De fait vous pouvez remercier les salariés de toutes nos
enseignes pour les efforts fournis : ceux-ci ont grandement participé et produit les résultats de l’entreprise dans un contexte très difficile et cela avec des conditions de travail dégradées.

Nous alertons depuis des années sur ces trop timides ou mauvais investissements.
L’innovation doit-être
sociale et pas “tout automatique”. Les clients ne sont pas au rendez-vous de vos caisses automatiques, preuve en est, la suspension du déploiement du projet caisse.

Les élus CFDT aux CCSE donnent un avis défavorable sur la situation financière de l’entreprise.

12:51 Publié dans Comité Central d'Entreprise (CCSE) | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | | | |

02/10/2018

Avis CFDT au CCE Auchan du 13/09/18 (PSE + Centralisation appro Drive)

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Avis des élus CFDT : 

PSE
Sur la mise en œuvre du Plan de Sauvegarde pour l’Emploi du 3 juillet 2017, nous restons cohérents par rapport à nos positions précédentes sur le principe du PSE avec un avis défavorable.
Sur le dossier, les chiffres sont plutôt corrects, ça avance clairement, on est à 69% de mobilité réalisée sur le total du PSE. Nous notons qu'il n'y a pas encore eu de critères d'ordre activés.
Il y a 31 personnes notifiées comme étant dans la phase 2, mais toujours en accompagnement.
Nous allons certainement rentrer dans la tranche la plus difficile. Le PSE s'étire sur une durée trop longue, des situations locales deviennent difficiles (surtout côté Simply et AECF).
La bascule en octobre des CSP compta va être un point à suivre en particulier, et nous serons présents.
Nous craignons d'autres PSE dans le périmètre RETAIL sur la Sodec et Auchan Direct...

Projet de centralisation de l’appro Auchan Drive

Ce projet de centralisation de l’approvisionnement des drives semble effectivement nécessaire au vu du nombre de ruptures constatées dans l’ensemble des drives.
Les besoins en termes de ruptures ou d’approvisionnement ne doivent pas être l’arbre qui cache la forêt : l’humain !
C’est souvent plus de Qualité de Vie au Travail dont il faudrait parler sur les périmètres drive, que des ruptures !
Ce secteur d’activité doit particulièrement retenir, et capter l’attention des IRP ainsi que des directions, où l’on constate souvent une mise à l’écart des salariés travaillant au drive par rapport aux activités des hypers auxquels ils sont rattachés.
Sur la présentation, nous émettons des réserves car les éventuels impacts sociaux ne sont pas inscrits dans la présentation, en équivalent temps plein.
Si le coté SLIM semble émerveiller les collègues l’utilisant, il ne faut pas que le côté face de l’outil prenne le relais sur l’humain, il doit venir en appui et non le remplacer.
Se doter d’un outil permettant de gagner en efficacité, qui aura pour conséquence de diminuer les ruptures et redonner, non pas la main, mais le temps aux salariés nous parait une bonne chose.
Les élus CFDT Auchan émettent un avis favorable sous réserve qu’il n’y ait pas d’impact sur l’emploi et demande un comparatif du bilan social drive à n+1 comportant les heures travaillées sur le périmètre Auchan Drive.

 

17:44 Publié dans Comité Central d'Entreprise (CCSE) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : plan social, restructuration, drive, appro | |  Facebook | | | |

16/02/2018

Avis CFDT au CCE Auchan du 30-31 janvier 2018

Projet d'organisation de la DSI

Cette réorganisation était nécessaire et très attendue puisqu'elle avait été annoncée il y a bien 2 ans maintenant.

Il est primordial de construire une vraie DSI unique pour tous les formats mais attention de ne pas simplement étendre la DSI Auchan France aux autres formats. Notamment les départs important côté DSI Atac et le faible nombre de personnes acceptant de monter à Villeneuve, est un risque majeur à traiter.

Nous sommes satisfait de l'objectif sur les embauches et la création de 50 postes en interne et de nouveaux métiers, ainsi que de la réintégration de l'expertise et du développement en interne. D'une manière générale il y a eu trop d'externalisation sur la DSI. Les postes pérennes doivent être pourvus en interne.

La revalorisation de la filière RUN est effectivement primordiale, notamment en terme d'évolution de carrière.

Côté projet, il faut éviter d'avoir une DSI trop rigide et incapable d'apporter des solutions simples et rapides.

Nous notons favorablement l'effort conséquent sur la formation et la certification en méthode AGILE avec 1500 jours de formation

Nous ne pouvons qu’apprécier que le bien être au travail soit un élément important de cette réorganisation. Nous suivrons cela de près, notamment en terme de locaux, d'espace de travail et d'organisation .

Pour la CFDT, c'est un avis favorable mais attention à bien revoir les grilles de salaires à la hausse pour être en phase avec le marché du travail informatique (il y a eu beaucoup trop de démissions en DSI) et ne pas creuser d'inégalités salariales entre les nouveaux embauchés et les anciens.

Nous souhaitons avoir plus de précision concernant le projet de lean-management.


Sur le projet de dispositif d'alerte en application de la loi Sapin 2 (anti-corruption)

Remettre de l’éthique dans les projets de l’entreprise est une bonne initiative. La charte ne nous paraît pas être une solution très astreignante. Nous restons attentifs afin que ce nouvel outil ne soit pas détourné à des fins de ‘’flicage’’ des salariés.

Attention, aussi, au système qui s’auto-contrôle et nous vous alertons sur la nécessité d’ajouter un membre de la DRH pour éviter de la rétention d’information et pourquoi pas associer les partenaires sociaux dans ce contrôle.

Élargissons le débat, l’actionnaire ne doit pas dépasser les bornes des limites par l’optimisation fiscale, et ce par le biais de paradis fiscaux en Belgique.


Projet de schéma appro/logistique 2018-2021

Nous comprenons le besoin pour l’entreprise de se moderniser. Cependant, nous n’avons aucune garantie sur la mise en place d’une automatisation et sur la pérennité des emplois. Nous n’avons pas de vision précise sur les perspectives sociales, tout reste à négocier. Nous ne donnons pas de chèque en blanc. Les élus CFDT au CCE demandent une expertise économique et sociale

 

Mise en œuvre de la main courante électronique OSCARF

Au-delà d’un retour négatif sur un site (pour défaut d’information locale), il semble que les procédures soient harmonisées, que les agents de sécurité soient délestés de contraintes administratives et ce pour optimiser leur action de surveillance et de proximité. Nous insistons sur la nécessaire présence physique d'A.S sur les encaissements automatiques qui voient des hôtesses régulièrement malmenées.

Les préoccupations environnementales notamment d’économie de papier et d’encre sont aussi une priorité pour la CFDT.

Cependant, il semble que le test ne soit pas complètement abouti, dans ces conditions nous ne donnons pas d’avis.

 

18:09 Publié dans Comité Central d'Entreprise (CCSE) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dsi, réorganisation, cce, rse, éthique, sécurité, logistique | |  Facebook | | | |

21/07/2017

Plan de transformation Auchan Retail France, la CFDT rend un avis défavorable.

Licenciements-volontaires.jpg

Téléchargez l'affiche/tract

La CFDT ne nie pas à la nécessité d’évolution de l’entreprise, et prioritairement pour préserver ses emplois. Cependant, comme détaillée dans les différentes expertises, cette restructuration intervient trop brutalement et bien tard par rapport à la concurrence. Cela confirme notre constat qu’Auchan compense socialement son incapacité à faire du commerce rentable.

Cette réorganisation déclinée de façon précipitée cherche surtout à satisfaire la gourmandise d’un actionnaire familial qui veut tripler ses bénéfices nets en 4 ans et qui opère cette année des distributions de dividendes indécentes au vu de la situation sociale.

Une déclinaison moins précipité aurait permis d’opérer cette mutation sans passer par la menace de départ contraint. De Fait ce projet est surtout un Plan de Sauvegarde des Gros Bénéfices subventionné par les contribuables via le CICE (91 M€ pour 2018).

LOGISTIQUE : la modernisation de l’entreprise ne doit pas passer par la précarisation du statut social de ses personnels.
A défaut de garantie sur leurs appartenances à long terme au groupe Auchan et surtout a défaut de garantie sur la pérennisation de leur statut social, les élus CFDT réfutent le bien fondé de cette restructuration en Logistique et sur certains services d’appui. 

ARS : Concernant les transferts de contrats de travail, le droit et les engagements doivent être respectés. Les personnes qui refuseraient ces transferts sont de droit à intégrer au PSE. 

Le PSE : nous faisons le constat que le projet d’accord sur la partie mobilité volontaire a évolué et que nos revendications pour les salariées ont été en partie entendues.

La CFDT n’a pas abandonné les salariés à une fatalité lamentable d’un PSE en plan de départs contraint exclusif.

Pour les victimes, pour  éviter un maximum de départs contraints. Plus qu’une posture dogmatique de rejet de négociation et sur le constat du manque de rapport de force et du côté inexorable de la déclinaison du « projet d’organisation Retail », la CFDT a négocié activement et âprement les mesures du PMV, comme la mise en place du temps partiel abondé , l’amélioration de la mobilité interne, le relèvement des seuils des départs volontaires , les délais et les termes de l’engagement de l’entreprise ... 

Dans les commissions de suivi, la CFDT jouera tout son rôle pour suivre le déroulement du PSE afin de préserver un maximum d’emplois et suivre les victimes.  Il en sera de même pour les survivants des services d’appui que nous suivrons au millimètre dans les CHSCT respectifs.

Les élus CFDT donnent un avis défavorable à cette déclinaison du Projet de réorganisation RETAIL et de ses services d’appui. 

Nous revendiquons que le CICE, offert par le contribuable dont les victimes du PSE, prenne tout son sens social. La famille propriétaire d’ARF a des droits mais aussi des devoirs. Elle doit utiliser ce don pour créer une agence d’emploi pilotée paritairement (Agence Familiale Mulliez pour l’Emploi) couvrant tout le périmètre de la Galaxie Mulliez.

Cette agence pour l’emploi AFME élargie aurait pour mission que plus aucun départ contraint ne se produise dans les plans de restructuration au sein de L'AFM.              

La CFDT à vos côtés pour vous accompagner et faire valoir vos droits. N’hésitez pas.

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17:57 Publié dans Comité Central d'Entreprise (CCSE) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : restructuration, réorganisation, plan social | |  Facebook | | | |

30/11/2012

Auchan doit renoncer à supprimer des postes en échange du crédit d'impôt




AFP. La CFDT a demandé mercredi qu'Auchan renonce à son plan de transformation de l'entreprise (PTE), qui vise selon elle à supprimer plus de 1.700 emplois, en échange du crédit d'impôt dont bénéficiera le groupe de distribution dans le cadre du pacte de compétitivité gouvernemental.

"Des entreprises vont recevoir un chèque fiscal, qui devrait atteindre 80 millions d'euros pour Auchan et 125 millions d'euros pour les 3 principales enseignes du groupe Mulliez", a annoncé Guy Laplatine, délégué syndical central CFDT, au cours d'une conférence de presse organisée à la veille d'un comité central d'entreprise à Marcq-en-Baroeul (Nord).

"A partir du moment où des cadeaux fiscaux sont faits pour favoriser l'emploi, cela doit se traduire au moins par l'arrêt des plans sociaux et une diminution de la précarité", a-t-il poursuivi.

"On s'adresse à l'employeur et au gouvernement. Il faut préserver l'emploi avant tout", a ajouté le syndicaliste.

Aucune mesure de ce type ne figure parmi les contreparties à l'utilisation du crédit d'impôt qui seront définies dans une loi que Matignon a promise pour début 2013.

Le crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE) sera de 4% de la masse salariale brute dès l'exercice 2013 avant de passer en vitesse de croisière à 6% en 2014, selon l'amendement au projet de budget rectificatif adressé mercredi aux parlementaires.

Auchan avait annoncé fin mars la création de 1.600 postes nets d'ici à 2014 à travers un plan qui prévoit la création de 3.200 postes environ via l'ouverture de 56 magasins, mais aussi la suppression de 1.600 postes.

La CFDT a mis en doute mercredi le chiffre de 3.200 emplois créés, évoquant pour sa part quelque 1.700 suppressions de postes, dont 600 sont particulièrement menacés, selon elle. Ces derniers ont fait l'objet d'un accord de méthode avec la direction d'Auchan, qui empêche tout départ contraint jusqu'à la fin décembre 2013, selon le syndicat.

"Le PTE est en cours, bien avancé et se poursuit", a commenté un porte-parole d'Auchan, interrogé par l'AFP, précisant qu'il était prématuré d'évaluer le montant du crédit d'impôt dont bénéficiera l'enseigne.

Auchan emploie 50.000 personnes en France. Mi-mars, le groupe a annoncé un bénéfice net en hausse de 14,9% à 810 millions d'euros au titre de 2011.

16:15 Publié dans Actions syndicales, Comité Central d'Entreprise (CCSE) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vidéos, plan social, gpec, fiscalisme | |  Facebook | | | |

Auchan et les temps de pause : la CFDT veut une prime de compensation

affaire-des-temps-de-pause-a-auchan.jpgLors du comité central d'entreprise (CCE) de ce jeudi 29 novembre, la CFDT a présenté une pétition avec 5000 signatures de salariés pour demander le versement d'une prime de compensation pour l'ensemble des personnes concernées par l'affaire des temps de pause. Explication dans La Voix du Nord :

Retour en arrière. Des salariés d'Auchan réclament depuis des années le respect du SMIC. Ils reprochent à l'enseigne d'avoir intégré, entre 2000 et fin 2007, le temps de pause dans leur rémunération (5 % du temps de travail, soit trois minutes par heure travaillée), contrairement à ce que prévoient les conventions collectives.

« Action collective »

En octobre, la cour de cassation a donné gain de cause aux salariés. On attend désormais le passage devant les prud'hommes de Lille, dont la date n'a pas encore été fixée. « À raison de 4 000 euros par employé de niveau 1 sur sept ans et de 5 000 euros pour un employé de niveau 4, on parle d'une somme totale de plusieurs millions d'euros », précise Guy Laplatine, délégué central CFDT.

Cependant, sur 40 000 personnes concernées, seuls les 1 600 salariés qui ont déjà engagé une procédure pourraient profiter d'une décision favorable.

Pour les autres, les faits sont prescrits. « Nous avons donc décidé de mener une action collective et syndicale. La CGT nous soutient.

Cette action commence par une pétition qui a pour l'instant recueilli 5 000 signatures. Et nous imaginons, pourquoi pas, des mouvements en fin d'année.

Nous irons jusqu'au bout. Les salariés spoliés sont en droit de réclamer leur dû. »

la Cfdavec vous et pour vous 

26/03/2012

Le règlement intérieur d’Auchan invalidé par l’inspection du travail

reglement-interieur.jpg

La DRH a annoncé au CE que le règlement intérieur de l’entreprise avait été invalidé par l’inspecteur du travail.

C’est plus de trente irrégularités qui ont été pointées dans ce règlement !


Celui-ci comportait entre autre des sanctions pécuniaires illégales, des restrictions aux libertés individuelles, des limites abusives à l’exercice du droit de retrait, des abus d’autorité, etc…etc…

La direction a joué l’étonnement, et les responsables de la CFTC et du SEGA ont préféraient ironiser sur le temps mis par l’inspecteur du travail « qui n’avait qu’à faire son boulot plus tôt » (en oubliant que les inspecteurs du travail sont submergé de dossiers, et qu’ils doivent gérer les priorités face à des situations aussi graves qu’il peut y en avoir avec la crise actuelle, et avec les moyens qui leur ont été retiré ces dernières années).
Un comble de la part de ceux qui ont validé ce règlement truffé de dispositions défavorables aux salariés !
Il faut rappeler que ce n’est pas la première foi que l’inspecteur est la cible des petites phrases de la CFTC et du SEGA…
Pour mémoire, celui-ci avait dressé des PV à l’encontre d’Auchan pour non-respect des dispositions sur le SMIC alors que la CFTC et le SEGA avaient signé et permis la mise en ouvre de ce système aboutissant à payer des salariés en dessous du SMIC pendant 7 ans !
Ces deux syndicats avaient d’ailleurs continué à signer des grilles inférieures au SMIC même après le dépôt des PV !

Pour la mise en œuvre de ce règlement intérieur, les élus du CE avaient été consultés pour rendre leur avis préalablement, comme la loi le prévoit.
Les élus CFTC et SEGA avaient tous donné un avis favorable !

Le rôle des élus du CE est de permettre la prise en compte permanente des intérêts des salariés dans les décisions de l’employeur.

Quand un règlement intérieur, à ce point critiquable, a été approuvé par des élus, peut-on dire qu’ils ont bien fait leur travail d’élu défendant les intérêts des salariés ?!


C’est toujours plus facile de rendre des avis favorables. Mais s’opposer à bon escient demande d’avoir des arguments étayés, donc d’avoir pris le temps d’analyser le contenu. Cela nécessite d’avoir des connaissances pour détecter les problèmes, donc d’être formé.

Quand on voit le faible taux de formation des élus du CE, quand on voit qu’il n’est jamais fait appel à des experts comme devraient normalement le faire un CE, pas étonnant de voir autant d’infraction de la part de l’employeur Auchan.

Dans ces conditions le CE ne joue pas son rôle de contre-pouvoir...

En tout cas, à la CFDT, nous sommes reconnaissants à l’inspection du travail pour son analyse aussi précise et rigoureuse que complète, qui va permettre d’avoir maintenant à Auchan un règlement intérieur prenant en compte de manière beaucoup plus équilibrée, les droits et les devoirs de chacun.

22/07/2011

Suite à l'action salaire lors du CCE Auchan : un vrai 1er résultat

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Télécharger l'affiche

Action intersyndicale CFDT-CGT-FO lors du CCE du 29 juin avec remise des 8000 premières pétitions "salaires"...

Un vrai premier résultat : l'annonce du paiement triple de la journée anniversaire, non prévu à l'origine.
Le prochain CCE est convoqué le 30 août pour valider cette prime.

Cependant le problème concernant les salaires de base reste entier... (lire l'article)

Pratiquer une politique du tout variable qui verrait les salaires réduits à leur part la plus congrue, n’est pas acceptable.

Continuons d’exiger de réelles négociations sur les salaires de bases !

à suivre...